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    Un baisser de toi, c'est un baiser d'Amour.

     

    Un baiser amoureux sur ta bouche éclatante.

     

    Joli ton de sinople, et douceur de velours,

     

    Tendre écrin de l'ivoire, à la blancheur plaisante.

     

     

     

    Puis tes yeux diamants, aux éclats d'émeraude,

     

    Où s'allume un regard, au désir exaltant.

     

    Et ta peau satinée, au grain fin, blanche et chaude,

     

    Au parfum pénétrant, à l'effluve enivrant,

     

     

     

    Et qui met nos deux corps, dans un état d'ivresse.

     

    L'abat-jour rose clair, illumine ton corps

     

    De sa douce lumière, aux rayons de tendresse.

     

    Tu es un vrai chef d'oeuvre, un trésor plus qu'en or.

     

     

     

    Et je rêve avec toi, de folle étreinte ardente,

     

    De tes doigts frémissants, qui entament ma peau

     

    Et voyagent partout, sur ma chair frissonnante,

     

    Me faisant soupirer, et du bas jusqu'en haut.

     

     

     

    Bientôt, ton corps trésaille, au plus chaud de ma flamme.

     

    Nous plongeons dans le stupre et la fornication.

     

    Notre prière au ciel, accompagne notre âme,

     

    Nous faisant monter haut, aussi dans la passion.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Un soir printanier, par un beau clair de Lune.

     

    L'air était bien plus doux, et le ciel plus clément.

     

    Et les étoiles s'allumaient, une par une.

     

    Le vent s'était couché, depuis un bon moment.

     

     

     

    Un silence apaisant, régnait sur la vallée,

     

    Car tous les bruits du jour, se fondaient dans la nuit.

     

    Seul un doux parfum, embaumait la soirée,

     

    Un parfum odorant, comme une odeur de fruit.

     

     

     

    La vallée endormie, était tranquille et sage,

     

    Puis Phébé au plus haut, diffusait sa clarté,

     

    Dont les pâles rayons baignaient le paysage,

     

    Que nous regardions, dans toute sa beauté.

     

     

     

    Assis sur notre banc, bien serrés, côte à côte,

     

    Nous étions amoureux, et nous aimions l'Amour.

     

    Soudain il me souvient, jour de la Pentecôte,

     

    Nous nous sommes aimés, jusqu'au lever du jour.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     


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    Ce jour, comme toujours, je n'ai d'yeux que pour toi.

     

    Si belle, tu m'es chère, O huitième merveille.

     

    Et nue contre moi, mon corps est en émoi,

     

    Tu me prends dans tes bras, et comme la veille,

     

     

     

    Ton corps devient brûlant, offert à mes désirs.

     

    Tes seins déjà durcis, haletante et soumise.

     

    Ta bouche sensuelle, aux baisers de plaisirs,

     

    Laisse une belle empreinte, au beau rouge cerise.

     

     

     

    Puis, longuement soudés, tu gémis de bonheur,

     

    Tes cheveux secoués, balayent ton visage.

     

    Et tu poses tes dents, sur ma peau en sueur,

     

    Pour étouffer tes cris, devenant babillage.

     

     

     

    Puis soudain, nous mourrons, pâmés et pantelants,

     

    Reprenant notre souffle, et reprenant vie.

     

    Le désir est si fort, que nos corps lentement,

     

    Se caressent d'Amour, ayant encore envie.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

    vv  


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    O charmantes splendeurs, et douceurs estivales,

     

    En ce matin d'été, ruisselant de rayons,

     

    De lumière éclatante, aux clartés provençales,

     

    Illuminant déjà, les vallées et les monts.

     

     

     

    Puis d'odorants parfums, passaient tout en maraude,

     

    Dans ce ciel de silence, au bleu azuréen,

     

    Où un voile vibrait, dans la lumière chaude.

     

    Un vent doux se levait, dans un souffle éolien.

     

     

     

    Je me sentait si bien, dans ce beau paysage,

     

    La nature était fière, en toute sa beauté.

     

    Des oiseaux gazouillaient, cachés dans le feuillage,

     

    Un ruisseau chantonnait, de joie et de gaieté.

     

     

     

    L'odeur de la forêt, embaumait les villages

     

    Et de belles couleurs, ornaient tout l'horizon,

     

    Car venant des prairies, et de leurs fleurs sauvages.

     

    L'été commençait bien, j'aimais cette maison.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     

     

     


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    Ma belle au charme fou, ma douce Libertine,

     

    J'aime quand tu es nue, et tu me fais l'Amour

     

    Dans tes bras attirants, ton regard de coquine,

     

    Tes appas délirants, qui hantent tous mes jours.

     

     

     

    J'aime quand sur ma peau, ta bouche me lutine,

     

    Et tes mains d'aventure, aux longs doigts de velours.

     

    Puis mes endroits secrets, que ta langue butine,

     

    Et tes seins opalins, que j'aimerais toujours.

     

     

     

    Car j'aime tout ton corps, ta taille mince et fine,

     

    Ton fessier d'airain, ta souplesse féline,

     

    Et ta chute de reins, ton ventre doux et blanc.

     

     

     

    Ta prairie odorante, aux senteurs enivrantes,

     

    Cachant un vrai trésor, un joyau envoûtant.

     

    Je t'aime grand Amour, compagne rayonnante.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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