•  

    Dès le matin naissant, quand tout le ciel s'embrase

     

    D'un azur empourpré, de rayons rougeoyants,

     

    On est admiratif, et bien sûr c'est l'extase.

     

    O céleste beauté, pour nos yeux innocents.

     

     

     

    Alors tout s'illumine, au vu de la nature,

     

    Lumière émeraude, et feuilles en frissons

     

    Sous une douce brise, enchantant la verdure,

     

    De son air embaumé, du parfum des moissons.

     

     

     

    C'est la belle saison, des journées estivales,

     

    La campagne est si riche, au soleil miroitant,

     

    Dans les lacs, les étangs; Puis chantent les cigales,

     

    Musique de l'été, qui partout se répand.

     

     

     

    Et pour les estivants, c'est repos et détente,

     

    Puis respirant l'air pur, ils sont bien loin des bruits,

     

    Admirant la beauté de nos vallées pimpantes,

     

    De nos bois, nos forêts, la douceur de nos nuits.

     

     

     

    Dès le matin naissant, un nouveau jour commence,

     

    Le soleil nous sourit, on contemple les cieux,

     

    Qui dans leur beauté, éternelle et immense,

     

    Nous promettent la joie et des moments heureux.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Ivresse de plaisirs, aux longs frissons d'Amour,

     

    Ton corps magnifié, d'une fièvre intense,

     

    M'offre sa tendre chair, dévoilée au grand jour,

     

    Dans le rêve immortel de tes nuits d'insolence.

     

     

     

    Et son intime odeur, douce comme un parfum,

     

    Qui m'enivre d'Amour, de fragrances charnelles,

     

    Et m'invite bientôt à suivre le chemin,

     

    De ses appas exquis, aux douceurs sensuelles.

     

     

     

    Maintenant de ma main, comme une aile d'oiseau,

     

    Je frôle caressant, de sa peau la finesse.

     

    Puis dépose un baiser, tout enflammé et chaud,

     

    Sur ce corps frémissant, et toutes ses promesses.

     

     

     

    Je pense à lui souvent, sa sauvage beauté,

     

    Qui me fait frissonner, réveillant mon envie,

     

    Quand je suis quelquefois, quelque peu déprimé.

     

    O que j'aime ton corps, toi Amour de ma vie.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Et voici le lever, de l'Aube bleue et rose,

     

    Dans la douce langueur des chants mélodieux

     

    De la Terre en éveil et sa métamorphose,

     

    Et qui donne à ce jour, des éclats radieux.

     

     

     

    C'est le Printemps qui naît, d'où la plus belle chose,

     

    Que nous offre vraiment, la nature et les cieux.

     

    Quand la faune et la flore, ensemble et en osmose,

     

    Se parent de couleurs, d'effets mystérieux,

     

     

     

    Les ruisseaux sont joyeux, on voit des hirondelles.

     

    Les fontaines en pleurs, se change en ritournelles.

     

    Les arbres verdissants, gazouillent nuit et jour,

     

     

     

    Et toute la vallée, en nouveaux paysages,

     

    Devient tout en beauté, sous un soleil d'Amour.

     

    Tout ce qui donne envie, aux longs vagabondages.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    J'ai le fièvre amoureuse, au plus haut des degrés.

     

    De ton plus beau regard, tu fais monter ma sève.

     

    Si douce et provocante, aux appas veloutés,

     

    Tu es là devant moi, nue et belle comme Eve.

     

     

     

    Tu m'inondes d'Amour et de désirs charnels.

     

    Tu parfumes mon corps, des tes odeurs intimes.

     

    Tes lubriques soupirs, haletants, sensuels,

     

    Enfièvrent mon esprit, dans tes gestes sublimes.

     

     

     

    Et je devine en toi, les secrètes splendeurs,

     

    Que recherchent mes mains, ma bouche aventureuse.

     

    Entres vallées et monts, aux chemins des bonheurs,

     

    Paysage en beauté, promenade onduleuse.

     

     

     

    De tes lèvres sucrées, au doux mont de Vénus,

     

    Voyages les plus beaux, les meilleurs de ma vie.

     

    Tous en première classe, et tout en omnibus,

     

    O suprêmes moments, quintessence d'envie.

     

     

     

    Puis plaisirs de mes nuits, fierté de mes jours,

     

    Quand tu m'offres ton bras, et ton joli sourire.

     

    Et de vivre avec toi, je le veux pour toujours,

     

    Tu en es ma raison, heureux de te l'écrire.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     


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    Et voici qu'apparaît l'Aurore purpurine,

     

    Qui colore le ciel de toute sa splendeur.

     

    Déjà à l'horizon, la lumière divine

     

    Annonce un nouveau jour, et sa douce langueur.

     

     

     

    Ce matin printanier aux lueurs opalines,

     

    Dans son silence sourd aux subtiles odeurs,

     

    Eveille les oiseaux, les sources cristallines.

     

    Leurs mélodiques chants, ensorcellent les fleurs,

     

     

     

    Le soleil amoureux, ardemment les butine.

     

    Un vent tout embaumé, caresse la colline,

     

    Avant de s'échapper pour courir dans les près.

     

     

     

    Un troupeau de bovins, à l'ombre se repose.

     

    Au loin on aperçoit les sommets enneigés.

     

    Tout va bien ce matin, sous le ciel grandiose.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

    Un grand merci à tous mes lecteurs.

     


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