• Tu étais belle et la chambre sentait l'Amour.

    Tes cheveux s'écoulaient sur ton épaule ambrée.

    Lors, la nuit descendait pour envahir le jour.

    Sur ton divan de soie tu étais allongée.

     

    Armée de tes charmes et de tous tes trésors,

    Ton regard scintillait caché sous ta paupière

    Luttant dans l'ombre projetant des éclats d'or,

    Un petit abat-jour distillait sa lumière.

     

    Ton corps ondulait tel le roseau sous le vent.

    Tes mains envoûtantes aux ongles de tigresse,

    Se sont tendues vers moi dans un appel ardent

    Je t'ai pris un baiser dans un élan d'ivresse.

     

    Puis, on s'est éveillés sur les draps ravagés.

    Le matin était clair, tu étais merveilleuse.

    Encor ruisselants d'Amour on s'est embrassés,

    Pensant à cette nuit, pour nous la plus heureuse.

     

    Gérard Bollon-Maso


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  • C'est un petit village au fond d'une vallée

    Verdoyante et fleurie et caressée de vent,

    Embaumant de ses senteurs ses rues et maisonnée.

    Quand le soleil se lève encore rougissant,

     

    Il semble embraser tout le ciel et tout l'espace.

    Une fontaine en pierre aux éternels sanglots,

    Occupe en majesté le centre de la place,

    Puis quand vient l'Eté, la lumière coule à flots.

     

    Un petit bois le borde où passe une rivière

    Dont la douce musique est un enchantement.

    Du haut du village, on a une vue entière,

    Sur la vallée et ses paysages charmants.

     

    Car les monts et les vaux ondoient sous le ciel bleu,

    Les prés, champs et vergers font un tableau magique.

    Un petit coin de France, un coin béni des dieux,

    Qui me donne toujours un esprit poétique.

     

    Gérard Bollon-Maso

     

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

    Un cadeau original : un recueil de poésie. Contact : SMS au : 07 71 59 46 64


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  • C'est un ciel de cristal en ce matin d'Aurore.

    Un grand cri de lumière à l'horizon du temps,

    Et bientôt l'on entend au silence sonore,

    Les soupirs de la nuit qui s'en vont lentement.

     

    La Lune, encor visible est maintenant opale

    Puis disparaît des cieux, laissant place au Soleil.

    La nature, déjà, d'un rayon encor pâle,

    S'éblouit et se dore, aux reflets de vermeil.

     

    La douceur de ce jour baigne les vertes vallées,

    Et le souffle estival velouté de langueurs,

    Exhale ses parfums aux odeurs enchantées,

    Provenant des prairies et couvertes de fleurs.

     

    Rivières et ruisseaux, coulent avec délices,

    Traversant près et champs et l'ombre des sous-bois,

    Offrant berges fleuries et leurs fraîcheurs propices.

    Toute cette douceur, me fait penser à toi.

    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

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  • Quand respire le soir, absorbant nos errances,
    Dans la sombre toile de ce ciel diamantés,
    Ta blanche insomnie éclaire le noir silence,
    Nue sur ton lit de fleurs aux effluves bleutés.

    La langueur de tes pensées au charme attendu,
    Mesure mon désir de ton corps en offrande,
    Fébrile dans mon désir, tout mon corps s’est tu
    Tourmenté par la beauté, de tes yeux lavande.

    Lors, nos bras s’ouvrent, à la sensualité,
    Aimantés, nos corps se confondent et se mélangent
    Crient au ciel pour voir les étoiles scintiller,
    Et pour que cet Amour fasse chanter les anges.

    Quand le jour apparaît, de sa lumière nue,
    Sonnant nos louanges, rejetant nos souffrances,
    La lumière qui renaît semble superflue,
    Nos corps dans leur silence, se regardent et dansent.


    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

     

     


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  • Je sens couler en toi un fleuve ardent de sève

    Et qui donne à ton corps un élan d'Amour fiévreux,

    De ta bouche vorace aux baisers ténébreux,

    Tu assailles mon corps sans remords et sans trêve.

     

    Tes bras ensorcelants que tu tends et tu lèves

    En gestes fébriles, lestes et langoureux,

    M'attirent contre toi sur ton sein chaleureux

    Erectile et gracieux que l'Amour soulève.

     

    En pâmoison féline en ton corps alangui,

    Tu te cambres offerte au désir, à l'envi,

    Tes mots frôlent mon âme et la font frissonner.

     

    Le parfum de ta chair aux arômes brûlants,

    M'enivre entièrement tout le corps jusqu'au sang,

    On va toujours s'aimer, d'un Amour passionné.

    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

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