Dans l'éclat splendide de l'Aube purpurine,

Qui joue de ses langueurs aux baisers du soleil

De douces mélopées des chimères divines,

Caressent le jour naissant juste en plein éveil.

Puis tous les amoureux, après leur nuit coquine,

Ouvrent de grands yeux au son du radioréveil.

Et s'embrassent, sourient aux clartés cristallines.

Quand la nature endormie, prend un ton vermeil.

Lors la forêt frissonnante, agite ses branches.

Tout est calme et sérénité comme un Dimanche.

Même ce matin, le vent part se reposer.

Sous les charmes de la saison, tout est merveille.

La flore danse, bercée aux chant des abeilles.

L'étang miroir, reflète du ciel la beauté.

Gérard Bollon-Maso

Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.