•  

    La voûte lumineuse meure de tous ses feux,
    En laissant apparaître l’aurore vermeille,
    Se reflétant dans le clair de tes beaux yeux,
    Eclairant ton visage d’éclats de merveille.

    Et la nature exhale toutes ses senteurs,
    Toutes ses couleurs offertes à nos regards,
    Comme tous les parfums de ta peau en sueur,
    Et ton corps après l’Amour, beau comme un Renoir.

    Le vent du sud caresse la verte campagne,
    De ses sautes tièdes aux arômes d’orient,
    Comme tes lèvres humidifiées de champagne,
    Effleurent de leur fraîcheur tout mon corps brûlant.

    Le soleil de ses rayons embrase le ciel,
    Tous les nuages qui s’évadent et se glissent
    Pour disparaître à jamais devant l’arc-en-ciel,
    Tels tes baisers d’Amour, qui jamais ne finissent.



    Gérard Bollon-Maso

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Et en ce doux matin, pur d'Azur et de vent,

     

    Chante mélodieuse, une belle mésange.

     

    Sur l'arbre centenaire, exposé au levant

     

    Sur sa lyre jouant, on aperçoit un Ange.

     

     

     

    Tous deux s'accompagnent, donnant un récital,

     

    Que tout le monde entend, ainsi que la nature,

     

    Et tous les alentours. Bientôt, chaque animal

     

    Et puis toutes les fleurs, sous leur belle parure,

     

     

     

    Dansent, chantent aussi, pour fêter le Printemps.

     

    Le ciel silencieux, fait chanter ses lumières,

     

    Car les nuages gris, s'enfuient, très mécontents.

     

    S'exhalent des parfums, embaumant les chaumières.

     

     

     

    Puis, la population, fête l'événement,

     

    En se réunissant, sur une table immense.

     

    Pauvres, riches, clochards, vieux, jeunes, amants.

     

    Et ce jour printanier, est d'une joie intense.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


    2 commentaires
  •  

    Le parfum de tes mots, embaume tout mon corps,

     

    De sensualité, d'Amour et de tendresse.

     

    Belle et voluptueuse, aux yeux pailletés d'or,

     

    Tu es mon Aphrodite aux charmes de Déesse.

     

     

     

    De ta bouche affamée aux lèvres de désirs,

     

    Tu dévores ma chair, dans un élan d'ivresse.

     

    Puis, tes lascives mains, m'arrachent des soupirs.

     

    Tes seins, durs et dressés, beaux fruits de ta jeunesse,

     

     

     

    S'offrent tout à mes mains, comme un trésor d'Amour.

     

    Et le corps en émoi, mes gestes sont caresse.

     

    Bientôt nous nous aimons jusqu'au lever du jour.

     

    A l'Aube, entremêlés, nous sommes que paresse.

     

     

     

    Ton regard me sourit, tu me donnes un baiser.

     

    Je sens ta chair d'Amour, ardente et frémissante.

     

    Puis ma sève envahit mon cerveau jusqu'aux pieds.

     

    On s'aime de nouveau, ma toute belle Amante.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


    votre commentaire
  •  

    En baignant la campagne, une lumière douce,

     

    Lutine fleurs et prés, collines et hauts monts.

     

    Avec ma compagne, étendus sur la mousse,

     

    Nos corps sont aimantés, puis nous nous embrassons.

     

     

     

    Le temps est agréable au bord de la rivière,

     

    Le soleil s'y reflète, en éclats scintillants,

     

    Et nous apprécions, l'heure printanière,

     

    Long silence et douceur, doux parfums odorants.

     

     

     

    Puis plus tard on entend, dans l'air un vol d'abeilles,

     

    Musique enchanteresse, et chant délicieux,

     

    Accompagné d'oiseaux, sous les clartés vermeilles.

     

    Nous sommes vraiment bien, dans la beauté des lieux.

     

     

     

    Le ciel va s'assombrir, bientôt le crépuscule

     

    Et une écharpe d'or, s'attarde à l'horizon.

     

    L'astre solaire tombe, et s'incline et bascule,

     

    Dans l'abîme infini, au-delà du vallon.

     

     

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Son sourire charmant, illumine mon ciel,

     

    Comme un soleil d'été un doux matin d'Aurore.

     

    Ses beaux yeux, deux joyaux, et leur regard de miel,

     

    Me caressent le cœur et l'âme plus encore.

     

     

     

    Son visage impérial, couronné de beauté,

     

    A été dessiné par un grand virtuose.

     

    L'admirant chaque jour, sommeillant, éveillé,

     

    Et comme une œuvre d'art, de la toucher je n'ose.

     

     

     

    Son corps, sublimé par des courbes d'Amour,

     

    de sensualité, qui provoque mes songes,

     

    Et sa peau, blonde et fine, aux douceurs de velours,

     

    Me donne envie d'elle, et me trouble, et me ronge,

     

     

     

    Car depuis quelques jours, se trouve près de moi,

     

    Plage de la corniche, en vacances à Sète.

     

    J'ai peur de l'aborder, tout le corps en émoi.

     

    Mais déjà dans mon cœur, pour toujours dans ma tête.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

    v


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique