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    Ce jour, comme toujours, je n'ai d'yeux que pour toi.

     

    Si belle, tu m'es chère, O huitième merveille.

     

    Et nue contre moi, mon corps est en émoi,

     

    Tu me prends dans tes bras, et comme la veille,

     

     

     

    Ton corps devient brûlant, offert à mes désirs.

     

    Tes seins déjà durcis, haletante et soumise.

     

    Ta bouche sensuelle, aux baisers de plaisirs,

     

    Laisse une belle empreinte, au beau rouge cerise.

     

     

     

    Puis, longuement soudés, tu gémis de bonheur,

     

    Tes cheveux secoués, balayent ton visage.

     

    Et tu poses tes dents, sur ma peau en sueur,

     

    Pour étouffer tes cris, devenant babillage.

     

     

     

    Puis soudain, nous mourrons, pâmés et pantelants,

     

    Reprenant notre souffle, et reprenant vie.

     

    Le désir est si fort, que nos corps lentement,

     

    Se caressent d'Amour, ayant encore envie.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

    vv  


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    O charmantes splendeurs, et douceurs estivales,

     

    En ce matin d'été, ruisselant de rayons,

     

    De lumière éclatante, aux clartés provençales,

     

    Illuminant déjà, les vallées et les monts.

     

     

     

    Puis d'odorants parfums, passaient tout en maraude,

     

    Dans ce ciel de silence, au bleu azuréen,

     

    Où un voile vibrait, dans la lumière chaude.

     

    Un vent doux se levait, dans un souffle éolien.

     

     

     

    Je me sentait si bien, dans ce beau paysage,

     

    La nature était fière, en toute sa beauté.

     

    Des oiseaux gazouillaient, cachés dans le feuillage,

     

    Un ruisseau chantonnait, de joie et de gaieté.

     

     

     

    L'odeur de la forêt, embaumait les villages

     

    Et de belles couleurs, ornaient tout l'horizon,

     

    Car venant des prairies, et de leurs fleurs sauvages.

     

    L'été commençait bien, j'aimais cette maison.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     

     

     


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    Ma belle au charme fou, ma douce Libertine,

     

    J'aime quand tu es nue, et tu me fais l'Amour

     

    Dans tes bras attirants, ton regard de coquine,

     

    Tes appas délirants, qui hantent tous mes jours.

     

     

     

    J'aime quand sur ma peau, ta bouche me lutine,

     

    Et tes mains d'aventure, aux longs doigts de velours.

     

    Puis mes endroits secrets, que ta langue butine,

     

    Et tes seins opalins, que j'aimerais toujours.

     

     

     

    Car j'aime tout ton corps, ta taille mince et fine,

     

    Ton fessier d'airain, ta souplesse féline,

     

    Et ta chute de reins, ton ventre doux et blanc.

     

     

     

    Ta prairie odorante, aux senteurs enivrantes,

     

    Cachant un vrai trésor, un joyau envoûtant.

     

    Je t'aime grand Amour, compagne rayonnante.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Le camping frémissait, à l'Aurore alanguie.

     

    Sous un vent éveillé, d'un parfum matinal,

     

    Un soleil estival, dans sa douce harmonie,

     

    Etait déjà bien haut ; Et comme un récital

     

     

     

    De clartés diaprées, offrait comme un spectacle

     

    De céleste beauté, de joie et de couleurs.

     

    Car c'était ce matin, comme un petit miracle,

     

    Survenant rarement, qui réjouissait nos cœurs.

     

     

     

    Du haut de son zénith, de ses chaudes caresses,

     

    Le soleil en ardeur, mûrissait les blés d'or,

     

    Et faisait sécher l'herbe, et les fleurs en détresses.

     

    Mais nous, en bord de mer, on bronzait notre corps.

     

     

     

    Enfin, le soir venu, la brise était plus fraîche

     

    Et nous rafraîchissait, en nous faisant du bien.

     

    On prenait le Pastis, ayant la gorge sèche.

     

    On était en famille, en ce beau mois de Juin.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     

     

     

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    Je m'éveille au matin chantant, et l'air est frais.

     

    Les oiseaux du jardin, sont sur les plus hautes branches,

     

    Et déjà gazouillants. Lors, j'ouvre mes volets,

     

    Ecoutant leurs doux chants, au soleil qui s'épanche.

     

     

     

    J'ai le cœur tout léger, car tu es avec moi,

     

    Tu sommeilles encor, dans l'ivresse d'un rêve.

     

    Peut être à hier soir, où, tous deux en émoi,

     

    Pour la première fois, quand est monté la sève,

     

     

     

    Nos deux corps exaltés, se sont tendus les bras.

     

    Après hésitations, mais enivrés de fièvre,

     

    Sans un soudain élan, encore maladroit,

     

    Avons unis dans l'Amour, nos corps et nos lèvres.

     

     

     

    Maintenant, dans ce lit, tu vis dans mon regard.

     

    Tes formes sous le drap, me donnent des envies,

     

    De bien t'aimer toujours, le matin et le soir,

     

    Chaque jour, chaque nuit, pendant toutes nos vies.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     

     

     


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