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    Mon coeur chante l'Amour, je t'offre sa chanson,

     

    Sa joie, son ivresse, son émoi, sa tendresse.

     

    Il ne bat que pour toi, de ferveur, de liesse,

     

    Il se donne à ton coeur et plus que de raison.

     

     

     

    Mon corps chante désirs, je t'offre sa chaleur,

     

    Sa force et sa souplesse, puis l'odeur de sa peau.

     

    Il t'offre le plaisir qui fait monter en haut,

     

    Douceurs et caresses, ses gestes de langueur.

     

     

     

    Ma vie chante toujours quand tu es près de moi.

     

    De sentir le parfum de tes cheveux défaits,

     

    Est un très grand plaisir, et me fait de l'effet;

     

    Tes appas provocants me rendent fou de toi.

     

     

     

    Mon coeur, mon corps, ma vie, mes heures, mes jours, mes nuits,

     

    chantent tous mon Amour, prends les c'est mon présent

     

    Car je t'aime ma Belle et j'en fais le serment.

     

    Je suis là, je t'attends, viens ! Aime moi aussi.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

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    Le soir crépusculaire, étend ses profondeurs.

     

    Arrive la nuit noire et ses ombres languides.

     

    Le silence s'invite, et toutes les douceurs

     

    D'une brise sereine, et tiède, et translucide.

     

     

     

    Bientôt, tout se confond, sur les chemins obscurs.

     

    La Lune s'est cachée, aux voiles des nuages.

     

    Puis, les cieux libérés, sont redevenus purs,

     

    De nouveau étoilés, comme pour les rois-mages.

     

     

     

    Une fraîcheur venant des ruisseaux, des étangs,

     

    A envahi l'éther, et toute la vallée.

     

    Les villages dormants, frissonnent d'autant.

     

    Phébé, libre à l'instant, de sa pâleur nacrée,

     

     

     

    Lors, habille la nuit, d'un voile de lueurs,

     

    Caressant la nature, avec parcimonie.

     

    Le matin auroral, se lève avec pudeurs.

     

    Les pourpres du levant, étalent leur magie.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    J’aime cet air, très ancien, qui vient de passer
    A la radio, cet air doux et nostalgique
    Qui me rappelle, il y a déjà quelques années
    Quand j’étais jeune, une époque magique

    Ah cet air ! Je me souviens avoir rencontré
    Une jeune fille, comment s’appelait-elle ?
    Marie, Sophie, pourtant je n’ai pas oublié
    Ah oui ! Elisabeth, comme elle était belle

    Cet air, et les paroles, des paroles d’Amour
    Et bien sûr je les avais apprises par cœur
    Je les lui chantais, comme ça, tous les jours
    Elle aimait bien, nous chantions ensemble d’ailleurs

    L’ai-je aimée ? Oui c’est sûr, j’étais sentimental
    A chaque rencontre je tombais amoureux
    Mais elle je l’ai vraiment aimée, Amour fatal
    Elle ? Je ne sais pas, on s’est connu un mois ou deux

    Puis un jour elle est partie, je ne sais pourquoi
    Je ne l’ai jamais revue, et j’ai pleuré tant
    Cet air à la radio, m’ a fait penser à tout ça
    Une époque magique, il y a très longtemps.



    Gérard Bollon-Maso

     


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    Le soir crépusculaire, étend ses profondeurs.

     

    Arrive la nuit noire et ses ombres languides.

     

    Le silence s'invite, et toutes les douceurs

     

    D'une brise sereine, et tiède, et translucide.

     

     

     

    Bientôt, tout se confond, sur les chemins obscurs.

     

    La Lune s'est cachée, aux voiles des nuages.

     

    Puis, les cieux libérés, sont redevenus purs,

     

    De nouveau étoilés, comme pour les rois-mages.

     

     

     

    Une fraîcheur venant des ruisseaux, des étangs,

     

    A envahi l'éther, et toute la vallée.

     

    Les villages dormants, frissonnent d'autant.

     

    Phébé, libre à l'instant, de sa pâleur nacrée,

     

     

     

    Lors, habille la nuit, d'un voile de lueurs,

     

    Caressant la nature, avec parcimonie.

     

    Le matin auroral, se lève avec pudeurs.

     

    Les pourpres du levant, étalent leur magie.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    L'Aube s' épanouie, à l'horizon du ciel.

     

    Une gerbe pastelle, apparaît, féerique.

     

    Le Soleil, fier flambeau, luit tes beaux yeux de miel,

     

    Dore ta chevelure, et ton visage unique.

     

     

     

    Puis, ton parfum s'exhale, en un bouquet subtil,

     

    Comme une odeur d'Amour, et d'une âme de roses.

     

    Ton corps harmonieux, doux comme un mois d'Avril,

     

    Appelle le désir, l'envie en overdoses.

     

     

     

    Mes baisers font l'assaut, des vallons de ta chair.

     

    Ta langueur onduleuse, et tes hanches lascives,

     

    Se glissent sous mon corps, douces, tel du mohair,

     

    En tendresse amoureuse, et positions actives.

     

     

     

    Puis commence bientôt, la lutte et les soupirs,

     

    Mots tendres et mots durs, jeux de mains et de langues,

     

    De caresses en feux ; Frissons tout en plaisirs.

     

    Ce matin merveilleux, nous a laissé exsangues.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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