• Je sentais simplement un long souffle d'oubli,

    Pensant aux voluptés des caresses anciennes,

    Aux souvenirs des trésors d'Amour ébloui,

    Circulant dans ma tête comme des antiennes.

     

    Mais tu es là chérie, et l'on est au présent.

    Tes beaux yeux me disent oui, et ton corps m'invite,

    Exhibant tes appas et tes bras haletants.

    Ruisselant de désirs, ému, mon cœur palpite.

     

    Tes dessous en dentelle, exhalent leur parfums,

    M'incitant à découvrir tes joyaux intimes.

    Bientôt mes yeux s'allument et guident mes mains

    Sur tous tes chemins charnels, aux rondeurs sublimes,

     

    Tes petits coins boisés, collines et vallons.

    O plaisirs de mes sens, au-delà de l'extrême.

    La Lune lumineuse comme des néons,

    Eclairent nos deux corps qui se disent : Je t'aime !

     

    Gérard Bollon-Maso

     

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  • Une nuit bleue noyait les maisons du village.

    La Lune était levée et le ciel s'étoilait.

    La nature enneigée sommeillait comme un sage,

    Attendant le dégel, la douceur lui manquait.

     

    Mais le vent comme un cri, a déchiré l'éther,

    C'était le vent du nord, rafales de froidure,

    Qui gelait l'obscurité, puis les hommes et l'air,

    Faisant pleurer les arbres, et les engelures.

     

    Les fenêtres sombraient dans le noir de la nuit,

    Tentait tant bien que mal de capter la lumière

    Des reflets de Lune et du soleil de minuit.

    Le silence envoyait ses échos de mystère.

     

    Puis déjà l'aube mauve arasait les collines

    Et le jour s'est levé, le vent froid s'est caché.

    Le ciel était coloré de lueurs câlines,

    Les arbres tremblaient de froid dans leur nudité.

     

    Déjà les premiers rayons de l'astre royal,

    Caressait les sommets et leur neige éternelle,

    Qui étincelait en ce matin auroral.

    La nature en hiver peut être vraiment belle.

     

    Gérard Bollon-Maso

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  • Tu es vraiment belle

    Au-delà du désir

    Tu devrais être celle

    Bénissant mon avenir.

     

    J'aimerais être celui

    Qui au creux de tes bras

    Te donnerait envie

    M'inviter dans tes draps.

     

    On déchirerait le ciel

    De nos corps en furie

    Notre Amour serait tel

    Que nous serions éblouis.

     

    Dans un tourbillon d'Amour

    Une vie sans nuages

    Nous serions chaque jour

    Comme dans un lit-cage.

     

    Tu bercerais mon coeur

    Je bercerais ton corps

    Ce serait le bonheur

    Pour nous, jusqu'à la mort.

     

    Gérard Bollon-Maso

     

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  • La lumière du ciel, plane au loin et au-delà,

    Alors qu'un soleil rouge incendie avec force

    Tout l'éther encor clair mais qui sombre déjà

    Sous la clarté diffuse et le noir qui s'amorce,

     

    Puis allant vers l'obscur, sépulcre de la nuit.

    Le crépuscule avance, en ses ombres d'ébène,

    Dont sa robe nocturne à la beauté qui luit :

    Une nuit étoilée dont la Lune est la Reine.

     

    Et l'air est embaumé, d'une douceur exquise.

    Lors, dans l'ombre sereine, un chant monte du soir,

    Un souffle musical accompagnant la brise

    Et qui passe soudain comme un brûlant espoir.

     

    Aussi j'aime la nuit quand des parfums rustiques

    Encensent l'air si doux comme un frisson câlin

    Quand elle rêve encore aux matins poétiques

    Et leurs douces clartés, dans un beau ciel serein.

    Gérard Bollon-Maso

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  • Seulement habillée de bas et dessous noirs,

    Et dans ta chevelure un long ruban de soie,

    Tu scintilles telle une étoile dans le soir,

    Ton œil frissonnant au regard de feu, flamboie.

     

     

    Jouant sur les coussins de tout ton corps splendide,

    T' utilises ton charme et ton goût des plaisirs,

    Afin de m'attirer vers un Amour avide,

    Frémissante de caresses et de désirs.

     

    Puis des fragrances de parfums évanescentes,

    Comme un nuage, m'enveloppe tout entier.

    C'est une de tes armes, t'es là en attente

    Que je vienne vers toi, tout pâmé à tes pieds.

     

    Bien sûr, je ne peux résister à ta beauté.

    Ce corps sculpté comme une Vénus callipyge.

    Tu me regardes, je suis comme hypnotisé,

    Tu me sers fort dans tes bras et j'ai le vertige.

     

    Gérard Bollon-Maso

     

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