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    Dans mes rêves j'entends, de ton corps la musique,

     

    C'est un doux chant d'Amour, appelant mon désir.

     

    Je t'aperçois enfin dans la nue, érotique,

     

    Quand tu descends vers moi, bras ouverts au plaisir.

     

     

     

    Sous ton charme je suis, si belle comme un Ange,

     

    Que j'ai le cœur qui bat, au rythme d'un tambour,

     

    Je l'ai ouvert pour toi,, car aujourd'hui tout change,

     

    L'ai refermé sur toi, et ceci pour toujours.

     

     

     

    Un rêve merveilleux, un comte pour adulte.

     

    Vais-je me réveiller, être seul comme avant.

     

    Mais ce n'est pas possible, et ce matin j'exulte,

     

    Je te vois, je t'entends, tu existes vraiment.

     

     

     

    Je veux goûter bientôt, l'émoi de tes caresses.

     

    Ta main aventureuse, et douce sur ma chair,

     

    Ton sourire de nacre, et tes lèvres d'ivresses.

     

    Mon bel ange d'Amour, tout mon corps t'est offert.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso.

     


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    Un nouveau jour point, né du baiser de l'Aurore.

     

    Il naît à l'horizon, venant de l'infini.

     

    Puis, le soleil paraît, de ses rayons, il dore

     

    La nature en éveil, prés et coteaux fleuris.

     

     

     

    Les arbres sont réjouis, et tendent haut leurs branches,

     

    Afin de bien capter, de Poébus, les rayons.

     

    L'hiver étant fini, lors, ils prennent leurs revanches.

     

    Des oiseaux gazouilleurs, entament leurs chansons.

     

     

     

    Le ciel maintenant bleu, chasse au loin les étoiles,

     

    Et la Lune s'évade, au-delà vers la nuit

     

    L'autre côté du monde, où elle se dévoile.

     

    Bientôt la vie est là, le silence s'enfuit.

     

     

     

    Puis déjà la rosée, en perles translucides,

     

    Abreuve la nature, assoiffée au matin.

     

    Au village endormi, les rues sont encor vides.

     

    On perçoit de l'église, un doux chant en latin.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Ton corps incandescent, du feu de ton désir,

     

    M'offre comme toujours, les frissons, les étreintes.

     

    Tes mains aux doigts lascifs, me donnent du plaisir

     

    Et laissent sur ma peau, de l'Amour, les empreintes.

     

     

     

    Je cueille sur ta bouche, un sourire enjôleur,

     

    Puis, tes baisers ardents, véritable délice,

     

    Dont le goût restera, pour toujours dans mon cœur.

     

    Je veux tant m'enivrer, au puits de ton calice.

     

     

     

    L'odorante splendeur de tes seins me séduit,

     

    Leurs pointes de corail, sont pleines de promesses.

     

    Le parfum de ta chair, maintenant m'envahit,

     

    Me laissant dans un rêve, aux langueurs des ivresses.

     

     

     

    Belle fleur de lumière, aux charmes frémissants,

     

    S'enlacent nos regards, ainsi que nos délires.

     

    Nos nuits sont l'aventure, aux ébats envoûtants,

     

    Jusqu'au petit matin, nos réveils en sourires.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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  • Le jour attendait en de longs moments d'angoisse,

     

    Qu'arrive la nuit noire et le silence nu.

     

    Le pénitent sortait déjà de sa paroisse,

     

    Rentrant vite chez lui, encore tout ému.

     

     

     

    Elle venait bientôt, ruisselante de rêve.

     

    Et la Lune argentait, un étang endormi.

     

    Puis le vent se levait et accourait sans trêve,

     

    Embaumé de mystère et de souffle attiédi,

     

     

     

    Venant des près fleuris de fraîches marjolaines.

     

    Or, le ciel était sombre, et l'horizon fermé.

     

    Et puis on entendait, le sanglot des fontaines,

     

    Le doux chant d'un ruisseau, d'un oiseau enchanté.

     

     

     

    Aux nocturnes fraîcheurs, frissons d'éternité,

     

    Les étoiles brillaient, de lumière éternelle,

     

    Formant constellations, admirable beauté,

     

    De ce grand univers ; C'est une œuvre immortelle.

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     

     


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    J'aimerais tant nager, dans ton parfum d'Amour.

     

    Charmante, ravissante, éblouissante et nue,

     

    Et je rêve de toi, de ta peau de velours.

     

    Tu es évanescente, un ange dans la nue.

     

     

     

    La clarté de tes yeux, la grâce de tes traits,

     

    Tes gestes amoureux, ta chair douce et lascive,

     

    Tes cheveux de blé mûr, que j'aime tout défaits,

     

    Caresser leur éclat et leur lumière vive.

     

     

     

    Puis ta voix doucereuse, aux sons mélodieux,

     

    M'enivre, comme un chant de mots et de caresses,

     

    Ton regard enchanteur, aux prunelles de feux

     

    Embrase tout mon corps, ardent en ses ivresses.

     

     

     

    Dans le choc du désir, et de ta volupté,

     

    Ton beau corps de Vénus, que pour moi tu dévoiles,

     

    Tout haletant d'Amour, et fait pour être aimé,

     

    Toujours, toutes les nuits, sous un dôme d'étoiles.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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