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    Tu m'inondes d'Amour, de câlins en souplesse,

     Tes yeux brûlent mon coeur, et mon corps envoûté.

     Extase langoureuse et désirs enflammés,

     Faisant battre ma chair sous tes mains de diablesse.

     

     Langueurs, frémissements, en profondes caresses

     Ardeur, gémissements, le plaisir de s'aimer,

     Erotisme charnel des gestes endiablés,

     Danse et cris soupirants des corps tout en promesses.

     

     Les envies et regards se mêlent et s'enlacent,

     Nos bouches enfiévrées se touchent et s'embrassent,

     Tous nos mots s'échappent en souffle volcanique.

     

     L'Amour nous chante et crie en silence de feux

     Et nous nous étreignons dans un envol magique

     Jusqu'à la mort des corps sombrant dans leur aveux.

      

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     


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    A l'aube qui se tait, aux premières lueurs,

     Quelques cris en éveil rompent la solitude

     De la brise d'automne aux soupirs d'altitude,

     Poussant les nuages s'épanchant de leurs pleurs.

      

    Puis, ce ciel nébuleux aux brumes opalines,

     Enfièvre l'air atone au parfum de lumière

     Sous la brise assagie, et son souffle éphémère

     Comme un frisson d'Amour, caresses libertines.

     

     Au loin, à l'horizon, un ciel clair et moiré

     Déverse un flot d'azur sur les hautes collines,

     Qui petit à petit, coule en clartés divines,

     Recouvrant la vallée aux tons ors et cuivrés.

     

    Au sein d'un ciel uni, un soleil paresseux,

    Aux rayons pâlissants, apparaît jaunissant,

    Puis se hisse au zénith pour enfin flamboyant,

    Offrir à l'automne son teint si lumineux.

     

    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

     


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    Je vous prie Madame, un rendez vous m’accorder,
    Mon cœur est à vos genoux,
    Et permettez moi chère amie, de vous aimer,
    Oh oui ! De vous je suis fou.


    Votre ascendant sur mon cœur, me fait défaillir,
    Il sursaute à votre vue,
    Et votre beau regard aux reflets de saphir,
    Me fait fondre, j’en puis plus.


    Lorsqu’hier soir, votre main a frôlé ma joue,
    Mon corps n’était que frissons,
    Et que s’est dévoilée, la chair de votre cou,
    M’est venu l’esprit fripon.


    Et depuis Madame, ma vie n’est que pensées,
    Mille pensées que pour vous,
    Votre corps hante toutes mes nuits, esseulé,
    De vos draps je suis jaloux.


    Je vous prie Madame, un rendez vous m’accorder,
    Vous illuminez ma vie,
    Car j’ai besoin de vous et de votre beauté,
    aimez-moi, je vous en prie.



    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.


     

     

     

     


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    En cette matinée aux brumes vaporeuses,

     Le ciel grisonnant chante et danse sous le vent,

     Puis s'habille bientôt de rayons éclatants

     réchauffant la nature aux couleurs chaleureuses.

      

    Florissant les coteaux des collines herbeuses,

     Eveillant la vallée et ses charmes naissants,

     Ses étangs et ses lacs, ses ruisseaux gouleyants

     Ses prairies tout en fleurs, ses forêts giboyeuses.

      

    D'une aile frissonnante, un long vol d'oiseaux passe,

     Une rayure au ciel comme un trait dans l'espace

     Qui traverse le temps le printemps et l'été.

      

    C'est comme un paysage émergeant sur la toile

     Et que nous admirons car bientôt terminé.

     En ce matin nouveau, la beauté se dévoile.

      

    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.


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    Au désert de mes rêves, belle, je t'ai vue,

     Au désert de mes jours, belle tu es venue,

      

    M'apporter ta beauté, ta douceur, ta tendresse,

     De tes charmants appas, tu m'a donné l'ivresse.

      

    Sur ta chair accueillante et tendrement pâmée,

     J'ai déposé ardent, ma bouche ensorcelée.

      

    T'as surgi dans ma vie, en sublime cadeau,

     Et j'ai lu ta beauté la douceur de tes mots.

      

    Et m'offrant un baiser, au bon goût de bonheur

     J'ai caressé ta peau d'un élan de douceur,

      

    Puis ton regard fiévreux aux frissons de désirs

     A provoqué en moi de merveilleux soupirs.

      

    Et j'ai surfé d'Amour aux vagues de ton corps,

     Au soleil de tes seins, et sur tes cheveux d'or.

       

    Dans la tiédeur de l'Aube, aux lueurs opalines

     Nos deux corps ont vibré de leurs beauté divines.

     

     Maintenant ton prénom scintille dans mon ciel

     Ton nom ensoleillé coule comme du miel.

      

    Aujourd'hui dans tes yeux, je vois danser mes jours

     Autour de ta beauté et de ton bel Amour.

      

    Gérard Bollon-Maso

     

     Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

     

     

     


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