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O L'éclat de tes yeux dans mes rêves éblouis,
La douceur de ta chair, sous ma main conquérante
Qui cherche le chemin des trésors engloutis
Sous tes voiles de soie et dentelle éclatante.
Ton haleine soupire aux échos sensuels
D'un doux parfum d'Amour aux fragrances volages.
Ton charme et ta beauté, langoureux et charnels
Enchantent ma mémoire et mes instincts sauvages.
Ta caresse lascive et ton geste câlin,
Sont l'infini trésor des voluptés certaines,
Illuminant mon corps de l'éclat de ton sein,
Des baisers flamboyants, de tes lèvres sereines.
L'heure d'intimité redouble la tendresse.
De mes bras caressants, j'ai bercé ton corps nu,
Puis soudain nos deux corps au fort besoin d'ivresse,
se sont soudés d'Amour, dans un élan féru.
Gérard Bollon-Maso
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Amour toujours
Désirs plaisirs
Baisers d’Amour
Profonds soupirs
Nuit silence
Souffle court
Corps qui dansent
Et cris sourds
Yeux brillants
Caresses intimes
Gestes lents
Nuit féline
Eveil heureux
Matin câlin
Regard joyeux
Bonheur divin
Douce tendresse
Tu es si belle
Des promesses
Dans tes prunelles
Journée délire
Tu es Amour
Bel avenir
Amour toujours.
Gérard Bollon-MasoMes deux recueils : 06 64 17 65 80
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Je sentais resplendir, dans l'auroral matin,
Une lumière douce et une fraîcheur vive.
Alors, l'astre solaire et son éclat sanguin
Décorait tout l'éther en image furtive.
Puis la terre éveillait ses langueurs au soleil,
La flore soupirait, s'ouvrant à la lumière
Du jour resplendissant, qui sortait du sommeil
Et soudain, s'étirait sous la brise légère.
Des larmes de rosée en ce matin frileux,
Etincelaient d'argent et perlaient la verdure.
Enivrés de senteurs, d'herbe et d'oiseaux joyeux,
Champs, prés, plaine et sous-bois, nous offraient leur parure.
Et Phébus déjà haut, éclaboussait mes yeux
De sa clarté ardente et vibrante de flamme.
Le ciel était sublime, et j'étais très heureux
Devant cette beauté, au charme qui se pâme.
Gérard Bollon-Maso
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Un matin, je venais rêver au bord de l'eau,
La lumière était nue à l'Aurore naissante,
Se chargeant en couleurs d'un soleil déjà chaud.
Lors, l'étang s'éveillait sous la nue avenante.
Allongé, l'oeil levé sur le regard du temps,
Je contemplais heureux la nature éclatante,
J'écoutais le ruisseau, la douceur de son chant,
Sentant le vent joyeux à la senteur grisante.
Le soleil glorieux jetait à l'horizon
Ses longs rayons cuivrés, et dorures vermeilles
Sur un pré tout fleuri, tout enivré d'abeilles
Et d'odeurs parfumées, embaumant le vallon.
Dans la douce clarté de ce matin magique,
D'un beau Bleu azuré, tout le ciel se dorait.
Ce fût un jour d'été tout à fait magnifique.
Mon rêve fût vraiment servi au-delà du parfait.
Gérard Bollon-Maso
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Ma p’tite botte de radis
J’admire tes dessous de bras
Ils m’affolent me font envie
Et je ne pense plus qu’à ça
Mon petit bouquet de persil
J’aime la plante de tes pieds
Du mois de mai jusqu’en avril
Je ne pense qu’à les caresser
Ma belle citrouille d’Amour
Ton cuir chevelu m’excite
Toutes mes nuits et tous mes jours
Je l’adore c’est une supplique
Mon petit poireau tout vert
Tes narines ne font frissonner
Me mettent la tête à l’envers
Occupants toutes mes pensées
Ma belle tomate bien rouge
Je suis fou de tes omoplates
Et surtout lorsqu’elles bougent
Je suis dans un état tout moite
Ma jolie pomme de terre
Tes genoux me font craquer
Lorsqu’ils sont nus et à l’air
Trembler je ne peux m’empêcher
Ma belle laitue bien pommée
J’aime plus que tout ton nombril
Mon rêve c’est d’y habiter
En plein océan, une île
Ma rose au velours soyeux
J’aime vraiment tout chez toi
Des orteils jusqu’aux cheveux
Tout entière j’aime que toi.
Gérard Bollon-Maso
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