A l'ombre d'un vieux chêne, en haut de la colline,

Tranquillement assis, adossé à son tronc,

J'embrasse du regard la beauté transalpine,

De la douce vallée, où il fait toujours bon.

Une rivière serpente et s'enfuit scintillante

Sous la lumière blonde et douce du soleil.

Longeant une prairie, encore florissante,

Une petit route aux arbres en éveil,

Permet de relier les hameaux aux villages,

Dont un est isolé, sur un pic élevé

Puis les champs et les prés, décor des paysages,

Grands tapis colorés, bordés de peupliers.

Soulignant la beauté, tant de cette vallée,

Les montagnes au loin, et leurs sommets tout blancs,

Puis cimes dentelées et neige immaculée,

Scintillants au soleil, comme des diamants.

Je suis vraiment heureux et d'y vivre à l'année.

L'air pur qu'on y respire et ses subtils parfums,

Puis les douceurs de miel, le soir à la tombée.

Les cieux bleus, étoilés, les silences sans fin.

Gérard Bollon-Maso

Ta voix est dans mon cœur, elle me berce et me veille,

Et son chant me fait vivre, ardente en ses frissons.

Ton cœur chante l'Amour quand ta fièvre s'éveille.

Veux tu me capturer entre tes bras fripons ?

Dans l'Ambre de tes yeux, je vois de la candeur,

Puis tendresse et Amour, lueur caressante.

Ton front se nimbe, pur, d'une blonde douceur,

Ce qui donne à ton visage, une clarté plaisante.

Le flot de tes cheveux, ruisselle sur ton dos,

Ils brillent d'éclats d'or, de vermeil et d'ivresse

Et nommer leur beauté, je n'ai pas tous les mots,

Alors viens dans mes bras pour que je les caresse.

Volupté de parfums de ta chair en émoi,

Aux vallons de ton corps, fruits et douceur pulpeuse,

Baisers de langueur nés de ta bouche pour moi.

As tu gardé de moi, mon empreinte amoureuse.

Gérard Bollon Maso