J'aime ton cœur où coule, un long fleuve d'Amour.

Lorsque tu apparais, tout se trouble et chavire.

Si belle et élégante, aux merveilleux atours,

Et si douce à aimer, avec ton beau sourire,

Tes beaux yeux de lagon, et ton cou délicat.

Puis ta bouche gourmande, aux lèvres de rosée,

Ta chevelure d'or, que caressent mes doigts,

Tes appas généreux, et ta peau parfumée,

Et ton sein opulent, se durcir sous ma main,

Tes longs baisers ardents, et sentir ton étreinte,

La courbure de ta hanche, et le creux de tes reins.

J'aime quand sur ma peau, tu laisses ton empreinte.

Et le flux, le reflux, de nos corps embrasés.

Tu soupires des mots, tels des chants d'allégresse.

Dans un ultime élan, de nos corps enflammés,

Ensemble nous crions, notre orgasme en ivresse.

J't'aime comme tu es, tout en charme, en richesse.

Gérard Bollon-Maso