• Venant de te rencontrer sur les bords de Seine,

    Je t'emmenais chez moi pour se connaître mieux.

    Un vent tiède nous parfumait de son haleine,

    Tu avais un beau visage aussi de beaux yeux.

     

    Tout de suite on s'est plus et nos corps s'attiraient,

    Alors on s'est allongés bientôt sur ma couche.

    Nous avons discuté puis l'on se souriait,

    J'aimais ton doux sourire et puis ta grande bouche.

     

    Et tes mots s'échappaient de tes lèvres garance,

    Des mots suaves, tendres et mélodieux

    Qui m'enivraient d'Amour et me mettaient en transe.

    Puis tes seins palpitants, dressés et radieux,

     

    Appelaient mes mains comme des chants intérieurs.

    Mon corps tout pâmé, latent et en attente,

    Languissait de désirs, soupirant de moiteurs

    Découvrant ta beauté, nue et toute attirante.

     

    Puis t'approchant de moi, ondulante et féline,

    J'admirais ton regard couleur bleu océan.

    Ton corps nageait dans l'air, charmant comme une ondine.

    Lors, on s'est embrassés puis devenus amants.

     

    Gérard Bollon-Maso

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  • J'aime respirer l'effluve de tes dentelles,

    De ton corps tout palpitant de lubricité,

    Qui font monter en moi une envie irréelle

    Dans tes bras délirants pleins de perversité.

     

    Caressant le velours de ta chair d'incendie,

    J'ai le cerveau en feu et le corps en fusion.

    Lumière et parfums enflamment l'harmonie

    De nos gestes frissons et tout en communion.

     

    Et dans l'éternité de nos baisers mystiques,

    L'étincelle des sens scintille dans nos yeux.

    Tes langueurs de créole en extase impudique,

    Déjà nous réunis d'un élan fiévreux.

     

    Puis me chevauchant et toute voluptueuse,

    Tu graves dans mon ciel le bleu de tes yeux.

    Dans cette étreinte perverse et délicieuse,

    C'est l'Amour qui surgit nous rendant Amoureux.

    Gérard Bollon-Maso

    Tout renseignements concernant mes recueils au :  07 71 59 46 64

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  • L'Aurore revenant des bas-fonds triomphant,

    Ose à peine effleurer de ses lueurs câlines

    L'horizon qui se cache aux ombres du néant,

    Avant de dévoiler la beauté des collines.

     

    O nature des splendeurs dans leurs commencements,

    Du voyage éternel et des couleurs célestes.

    Quant elles paraissent tôt dans le firmament,

    C'est sûr, ce sont les anges, qui se manifestent.

     

    Aux senteurs éperdues des parfums d'asphodèles,

    Portées par le souffle des plaines aux vagues d'Amour,

    Effluves subtiles aux odeurs irréelles

    En ce matin naissant aux lumières du jour.

     

    Dans le frémissement alangui du silence,

    Je vois des éclats d'or dans le ciel éveillé.

    Aux caresses de l'air, le lumière qui danse

    Eclaire ce moment d'un cri d'éternité.

    Gérard Bollon-Maso

     

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  • Déjà l'Aurore mettait le ciel en lumière.

    Le silence ténébreux s'enfuyait au loin.

    Et l'éther s'éveillait puis ouvrait ses paupières,

    La nature cherchait à couvrir ses besoins.

     

    La vallée en fleurs était encore en veilleuse.

    Le vent la caressait de ses vagues d'Amour.

    Le soleil projetait des lueurs radieuses,

    Des parfums exhalaient des effluves glamour.

     

    Des frissons envoûtants circulaient dans l'air doux,

    Où planaient des oiseaux aux ailes angéliques.

    L'azur était transparent ce matin filou

    Qui se moquait du temps et des heures mystiques.

     

    Rivières et ruisseaux chantaient leurs ritournelles.

    Au lointain palpitaient les vastes horizons,

    Quand passait joyeusement un vol d'hirondelles,

    Au soleil ardent de cette belle saison.

     

    Gérard Bollon-Maso

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  • J'aime scruter le ciel dans l'éclat de tes yeux,

    Ceux-ci ont une douce et charnelle lumière,

    Eclairant une visage ébloui, gracieux,

    Sous des cheveux de blé, où le soleil adhère.

     

    Et berçant mes Amours, au-delà de mes rêves,

    Lorsque tu n'est pas là, tout mon corps est en deuil.

    Mes désirs délirants quand la Lune se lève,

    Me font penser à toi et ton charmant accueil,

     

    Aux vagues de ton corps qui chavirent mon coeur,

    Hanches violoncelle, aux courbes obsédantes,

    A celles de tes seins, aréoles en fleur,

    A ton fessier d'airain, sa vallée envoûtante,

     

    A ta peau satinée aux parfums de promesses,

    A tes mains d'aventure aux longs doigts caressants,

    A ta bouche goulue aux lèvres de prouesses,

    Aussi à ta gentillesse et ton charme troublant.

     

    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

     


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