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Un arbre rêve
Au bord d'un étang,
Il rêve
Au printemps.
Dépouillé par
L'automne,
Il frissonne.
Sur ses branches nues,
Les oiseaux se sont tus,
Ils sont partis
Bien loin d'ici.
Bientôt viendra
L'hiver,
Recouvert
Seront ses branches
D'une couche blanche,
Il aura froid.
Au bord d'un étang,
Un arbre rêve
Au printemps.
Gérard Bollon-Maso
Merci pour votre lecture et votre intérêt pour ma poésie.
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Ton visage à l’éclat d’une rose du soir
Aux rayons de lune dans une nuit de rêve
Et m’irradiant d’Amour quand un reflet s’élève,
Au bleu de ton âme miroir.
Tes beaux yeux de silence aux lueurs de délice
Dont la source à la lumière de doux désirs
Brille en perles cristallines pour éblouir
Le rouge de mon cœur complice.
Ta voix aux sons mélodieux comme un violon
Est pour moi un chant d’Amour et de poésie,
Qui berce mon âme chaque jour de ma vie
Dont chaque mot est un bonbon.
D’ambre et d’écume aux douceurs d'un soupir,
Ta peau se nourrit de baisers et de caresses,
Et dont les effluves aux senteurs des ivresses
Ont la saveur d’un élixir.
Notre Amour est une communion magnifique,
Qui fleurit et s’épanouit au fil du temps
Dans un grand bouquet de nos plus beaux sentiments,
Au si doux parfum angélique.
Gérard Bollon-Maso
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Au rythme de l'Amour, ta beauté et tes charmes
Se balancent et au-delà de tes frissons
Appellent le désir et déployant tes armes,
Tes courbes en délire attaquent ma raison.
Puis tes mots inconnus, caressants me désarment,
Dérivent amoureux, fébriles et fripons.
Alors tu me défies de tes jolis yeux parme
Et tu m'offres ton corps, du mien je te réponds.
Dans la torpeur nocturne en un ciel langoureux,
Etoilé et fleuri d'éclats multicolores,
Tu m'arraches des cris de délices fougueux.
A l'Aube de nos corps, lorsque apparaît l'Aurore,
Parfumés de sueurs, nous sommes lumineux,
Nos regards pleins d'Amour, se dévorent encore.
Gérard Bollon-Maso
Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.
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Le ciel noir s’enfuit aux murmures du soleil,
Sous une brume perlée aux langueurs sereines,
Les vagues douces, roses, de ton corps de Reine,
Caressent les rives des désirs en éveil.
Et, lorsque les larmes de la rosée vermeilQue les fleurs épanchent leur nectar en haleine,
Pour le déposer sur ton corps aux hanches pleines
Ils embaument mes rêves encore en sommeil.
Bien éveillée en cette naissante journée,
Tes yeux jettent l’azur sur ma vie étoilée,
Lui donnant toute la beauté du paradis.
Et le ciel noir s’enfuit de nos envies charnelles,
Tu es là, près de moi, belle tu resplendis
Au-delà de la mort, pour la vie éternelle.
Gérard Bollon-Maso
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A l'horizon, l'Aurore et ses lueurs de ciel,
Etale ses couleurs en écharpes de rose.
Un soleil vaporeux de ses rayons de miel,
Chauffe tant bien que mal dans sa métamorphose,
Ce matin Automnal et encor frissonnant.
Des reflets de ciel bleu, d'écumes de lumière,
Apparaissent bientôt dégagés par le vent
Et qui, soufflant du Nord, refroidit l'atmosphère.
Puis éclate soudain toute cette beauté
De la nature, offrant ses forêts et ses vignes
Exhibant leur parure aux arbres dorés
Et les rouge, et les brun que le soleil souligne.
Viennent les derniers feux d'un crépuscule ardent,
Luttant contre la nuit lors, sombre et belliqueuse
Et gagnant désormais, jour après jour, du temps.
Nous donnant des journées courtes et ténébreuses.
Mais avant de sombrer dans un élan de fièvre,
Tel un seigneur, Phébus, explose les couleurs,
Sublimant la nature et tout comme un orfèvre,
Redonne aux paysages toutes leurs splendeurs.
Gérard Bollon-Maso
Merci pour votre lecture, votre fidélité et votre intérêt pour ma poésie.
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