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     Comme une fleur d'Amour, je t'effeuille en mes rêves

    Et en t'enveloppant de mes plus doux désirs,

    De mon corps de plaisirs, de mes plus longs soupirs.

    Je t'offre mon odeur, le goût nu de mes lèvres.

     

    Dans mon jardin secret où ton âme fleurie,

    Egalement ton coeur, ton corps et ta beauté ;

    Mon soleil les caresse au soir le jour tombé

    De lumière et chaleur charnelle réunies.

     

    Le matin au réveil, tes yeux voilés d'étoiles

    Clignotent dans mon ciel, tels des anges sereins,

    L'azur de mon rêve dans ton regard câlin,

    M'éblouit de magie, et soulève tes voiles.

     

    Tes mots coulent si beau, éternelles langueurs

    Et que mon coeur ouvert absorbe avec ivresse ;

    Je les cueille avec joie au gré de ta noblesse.

    Et ton si beau visage en renvoie sa Hauteur.

     

    Voici que le soleil, dispense ses rayons,

    Irradiant notre corps, ouvrant notre sourire,

    Nos bras et notre chair sont tout à l'unisson.

    Tu m''aimes, je t'aime, autant que l'on respire.

    Gérard Bollon-Maso

     

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

    Mes trois recueils au :   07 71 59 46 64


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  • Déjà des lueurs d'or s'éveillaient éclatantes.

    Leurs vivantes blondeurs égayaient le matin.

    Puis des vagues d'azur ruisselaient caressantes

    Dans un ciel renaissant aux douceurs de satin.

     

    Tout palpitait soudain sous la douce lumière

    D'un soleil orangé aux rayons émouvants.

    Et se mirant bientôt dans les lacs et rivière

    Bien avant d'iriser les coteaux florissants.

     

    Un vent nouveau naissait, préparant ses caresses,

    Courait à travers bois, champs, prairies et vergers.

    La nature joyeuse épanchait ses ivresses

    Dans la tendre euphorie avant de s'éclater.

     

    Dans une bonne ambiance au charme bucolique,

    Les arbres gazouillaient, les fontaines chantaient.

    Assis sur l'herbe verte, en un lieu sympathique,

    On buvait un café, l'air était encor frais.

     

    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

    Mes recueils au 07 71 59 46 64


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  • Tes yeux ont la couleur et la beauté bleu-pâle,

    Et ont sous le soleil de doux reflets d'Amour;

    Il y a dans ceux-ci une lueur glamour

    Et qui leur donne une belle douceur opale.

     

    Ta lèvre de carmin m'offre un baiser coquin

    Me désaltérant du parfum de ton haleine,

    Et ton tendre visage a le port d'une Reine.

    J'aime ton sourire et la rondeur de ton sein.

     

    Alors enivre moi de ta douce lumière,

    De ta peau onctueuse, ainsi que tes splendeurs,

    De tes soupirs fiévreux, de tes trésors mystère,

    De ta voix charmeuse, et de tes mots cajoleurs.

     

    Ta vie est dans mon coeur et dans ma tête entière,

    Lors je te vois si tendre et belle au charme charnel,

    Tu es venue à moi comme un cri de lumière

    Et qui résonne en moi comme un air sensuel.

    Gérard Bollon-Maso

     

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

    Mes recueils au 07 71 59 46 64


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  • La lumière se meurt au soir de sa présence.

    Languissante, impalpable, en harmonie au ciel

    Qui s'enflamme de rose et de reflets de miel,

    Puis s'éteint lentement ruisselant de silence.

     

    Un voile noir s'étend et dans sa renaissance,

    Surgissent clignotant comme un soir de Noël,

    Des milliers d'étoiles, comme artificiel,

    Illuminent la nuit de leur luminescence.

     

    La caresse du vent fait frissonner la nuit,

    D'une haleine fraîche au goût de millepertuis,

    Subtil parfum des prés, aux effluves qui courent,

     

    Dans ce ciel de minuit, étoilé et rêveur.

    Tous les deux bien serrés, Amoureux on savoure

    Ces magiques instants, d'Amour et de bonheur.

     

    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.


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  • Et le ciel s'étirait avant de s'éveiller.

    D'un baiser florissant tu caressais ma lèvre.

    Le velours de ta peau dans sa douce fièvre,

    En effleurant ma chair, la faisait frissonner.

     

    Les éclats de soleil flamboyant de tes yeux

    Faisaient s'évaporer de mon coeur des larmes

    Et réchauffaient mon corps en lui rendant ses armes,

    Pour te donner mon Amour et l'éclat de mes feux.

     

    La Lune nous lançait un lumineux baiser.

    Allongé près de toi, je respirais ton âme

    Appréciant d'un regard, tout ton charme de femme,

    Tes beaux cheveux dorés, et ton corps se pâmer.

     

    Tes doigts aventureux allumaient mes désirs,

    Tout en faisant jaillir tes seins de porcelaine.

    Tu m'attirais vers toi dans tes bras en haleine,

    Alors nous mourrions, tout pantelants de plaisirs.

     

    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.


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