• Un ciel tout empourpré des promesses de l'aube,

    Se pâme à l'horizon en sortant de la nuit.

    Puis quelques nuages, lors, partent en maraude

    Laissant naître bientôt l'azur d'un ciel qui luit.

     

    La nature s'éveille en parfums et couleurs.

    Un ruisseau rigole sous la beauté des cieux.

    Inondés de clarté, de silence et senteurs,

    Bois, champs, près et vallons, chantent un air joyeux.

     

    Un soleil tout cuivré apparaît dans l'espace,

    S'élevant, de toute sa lumière, il flamboie.

    On aperçoit au loin le haut vol d'un rapace,

    Des abeilles passent, butinant dans la joie.

     

    Et maintenant le lac, nimbé de reflets d'or,

                                          Tout scintillant au soleil, joyeux, il se pâme.

                                          Au fond les montagnes terminent le décor.

                                           Le ciel, de son bel Azur, colore les âmes.

     

     

                                           Gérard Bollon Maso

                                            Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

                                             Contact SMS au 07 71 59 46 64 pour enseignements ou achat                                             de  mes recueils.


    votre commentaire
  • C'est une fleur de bitume

    Qui ne s'ouvre que la nuit,

    Que faire l'Amour consume,

    Au corps trop vite flétrit.

     

    Est appelée fleur du mal

    Par les gens trop bien pensants,

    Fille de joie par les mâles,

    Parfois perdue, seule souvent.

     

    Dès que le soleil disparaît,

    A la lueur des réverbères,

    Elle n'a pas besoin d'engrais

    Pour s'ouvrir aux Amours éphémères.

     

    Par tous les temps, par tous les vents,

    On aperçoit sa silhouette

    Sur les pavés gras et luisants,

    Les seins à l'air et en jupette.

     

    Gérard Bollon Maso

     

                                               Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.


    votre commentaire
  • Des traînées laiteuses qui se laissent porter

    Au souffle parfumé d'une légère brise,

    S'éloignent très vite vers l'horizon bleuté.

    Où l'on voit tout au lointain, la lumière indécise.

     

    Le crépuscule étend son voile violet,

    Envahissant le jour de son nocturne voile

    Qui nous offre la nuit et ses rêves abstraits,

    Qui à l'éveil du matin, bientôt se dévoilent.

     

    L'odeur de cette nuit, palpite dans le soir.

    On respire un air pur aux subtiles fragrances,

    Venant d'orient, ou de quelques encensoirs,

    Ou tout simplement de la nature en errance.

     

    Une paresse rampe et croit dans le silence.

    Ce soir la lune est pleine et ses rayons dorés

    Effleure notre maison et les arbres qui dansent.

    Un doux frisson passe, le ciel est étoilé.

     

    Gérard Bollon Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

    Contact par SMS pour renseignements ou achat de mes recueils au :  07 71 59 46 64


    votre commentaire
  • Bonjour ma belle et douce fleur d'Amour,

    Lève toi, que tes rayons éclairent ma vie ,

    Dans ta lumière, je revis tous les jours,

    Brille de tous tes feux, et donnes moi envie.

     

    Brûle moi, explose moi de ton bel éclat.

    Sur ma peau je veux sentir ton incandescence,

    Dans mes yeux, fais refléter ton magma,

    Sors de ta tristesse, de tes moments d'errance.

     

    Elève toi jusqu'au sommet des merveilles,

    De tes jours, fais renaître les belles couleurs,

    Et resplendit de ta beauté qui m'émerveille,

    Qui me fait t'aimer et te donner du bonheur.

     

    Gérard Bollon Maso

     

                                        Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.


    votre commentaire
  • Un jour doux s'est levé, scintillant les marais.

    Etalant sa beauté, s'éveillait la nature.

    Au-delà l'horizon, bientôt apparaissait.

    Un ruisseau argenté roulait dans la verdure.

     

    L'air tiède était chargé d'arômes forestiers

    Quand le vent matinal parfumait la vallée.

    Les vergers étalaient tous leurs arbres fruitiers

    Qui, colorés offraient leur beauté enchantée.

     

    Dans le ciel translucide et rayé de vermeil,

    Tout un groupe d'oiseaux glissait dans la lumière.

    Maintenant élevé, se montrait le soleil,

    Irisant la rosée, étincelante et fière.

     

    Les coteaux onduleux, s'allongeaient nonchalants

    Sous la chaude caresse à jamais éternelle

    De notre dieu Phoebus aux longs rayons ardents,

    Dont la lumière d'or, rend la nature belle.

    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.

    Contact pour renseignements et achat de mes recueils : 07 71 59 46 64


    votre commentaire