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    C'est un joli vallon arrosé de rayons.

     

    Dès le Printemps venu, une douce lumière

     

    Caresse le matin, les coteaux en amont,

     

    Villages, hameaux, ainsi que la rivière.

     

     

     

    En faisant scintiller ses flots d'or et d'argent.

     

    La nature s'habille, en des couleurs nouvelles.

     

    Le silence est troublé, par l'éveil de doux chants :

     

    Mésanges, rossignols, pinsons et hirondelles,

     

     

     

    Cascatelles et torrents, murmures de ruisseaux.

     

    Et puis, sur les marchés, installés sur les places,

     

    Appelant le chaland, les marchands crient bien haut,

     

    Ventant leur marchandise, enjoués et loquaces.

     

     

     

    Bientôt, dans les maisons, on va se préparer

     

    Pour partir travailler, dans les champs ou les villes,

     

    Oui mais joyeusement ; tout est ensoleillé

     

    Dans ce joli vallon, merveilleux et tranquille.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    C'était un soir d'été, l'heure troublante et chaude

     

    frémissait dans l'air bleu, le soleil s'enfuyait.

     

    Un silence enfiévré, comme quand l'Amour rôde,

     

    Circulait, sensuel, et à nous s'imposait.

     

     

     

    Ton parfum m'embaumait de senteurs érotiques.

     

    Mes pensées s'envolaient vers ton corps ondulant.

     

    Et mes bras conquérants, se lançaient frénétiques,

     

    Pour t'enlacer d'Amour, et de baisers brûlants.

     

     

     

    Alors, nos mains pressées, de chair et de caresses,

     

    Frissonnaient notre peau, réveillant nos désirs.

     

    Nous nous chantions des mots, de douceur et d'ivresses,

     

    Explosant tous nos sens, nos cris et nos soupirs.

     

     

     

    Nous étions emmêlés, comme des fils de laine.

     

    Bataille corps à corps, et cherchant nos trésors,

     

    Transpirant de bonheur, et à en perdre haleine.

     

    Nous étions amoureux, pour toujours et plus forts.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     

     

     

    v


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    Le soleil apparaît dans sa beauté naissante.

     

    Et le bleu de la nuit, s'évade avec splendeur.

     

    Les étoiles d'argent, s'enfuient, évanescentes,

     

    Le ciel dissout la Lune et sa blonde lueur.

     

     

     

    Des couleurs diaprées, caressent les nuages.

     

    A l'horizon l'Azur, s'étale conquérant.

     

    Les troupeaux de bovins, dans tous les pâturages,

     

    Ruminent l'herbe fraîche, au parfum odorant.

     

     

     

    Les arbres verdoyants, sont ivres de lumière,

     

    Et de vent, et d'oiseaux aux tendres gazouillis.

     

    Scintillante d'argent, de poissons, la rivière,

     

    Coule tranquillement, sous des cieux éblouis.

     

     

     

    Une beauté florale, embaume la vallée,

     

    Recouvrant bois et prés, collines et coteaux.

     

    En suivant les chemins, sentiers de randonnée,

     

    Vous pourrez admirer, la beauté d'un tableau.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    La voûte lumineuse meure de tous ses feux,
    En laissant apparaître l’aurore vermeille,
    Se reflétant dans le clair de tes beaux yeux,
    Eclairant ton visage d’éclats de merveille.

    Et la nature exhale toutes ses senteurs,
    Toutes ses couleurs offertes à nos regards,
    Comme tous les parfums de ta peau en sueur,
    Et ton corps après l’Amour, beau comme un Renoir.

    Le vent du sud caresse la verte campagne,
    De ses sautes tièdes aux arômes d’orient,
    Comme tes lèvres humidifiées de champagne,
    Effleurent de leur fraîcheur tout mon corps brûlant.

    Le soleil de ses rayons embrase le ciel,
    Tous les nuages qui s’évadent et se glissent
    Pour disparaître à jamais devant l’arc-en-ciel,
    Tels tes baisers d’Amour, qui jamais ne finissent.



    Gérard Bollon-Maso

     

     

     


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    Et en ce doux matin, pur d'Azur et de vent,

     

    Chante mélodieuse, une belle mésange.

     

    Sur l'arbre centenaire, exposé au levant

     

    Sur sa lyre jouant, on aperçoit un Ange.

     

     

     

    Tous deux s'accompagnent, donnant un récital,

     

    Que tout le monde entend, ainsi que la nature,

     

    Et tous les alentours. Bientôt, chaque animal

     

    Et puis toutes les fleurs, sous leur belle parure,

     

     

     

    Dansent, chantent aussi, pour fêter le Printemps.

     

    Le ciel silencieux, fait chanter ses lumières,

     

    Car les nuages gris, s'enfuient, très mécontents.

     

    S'exhalent des parfums, embaumant les chaumières.

     

     

     

    Puis, la population, fête l'événement,

     

    En se réunissant, sur une table immense.

     

    Pauvres, riches, clochards, vieux, jeunes, amants.

     

    Et ce jour printanier, est d'une joie intense.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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