• Nuit irréelle

    Tard dans la nuit, le ciel lors, frémissait d'étoiles.

    La Lune souriait à nos futurs ébats

    Et déjà notre chair avait quitté ses voiles

    Et notre nudité exhibait ses appas.

     

    Aux feux de tes désirs, ton corps incandescent,

    Etincelait d'Amour, s'offrant à mon envie.

    Sur ta peau de satin aux doux parfums de vent,

    Déposais des baisers de ma bouche incendie.

     

    Puis ton regard chargé d'un délire obsédant,

    Invitait sur tes seins, une main infernale.

    Dans ton obscénité, voluptueusement,

    Tu m'ouvrais ton joyau d'une beauté astrale.

     

    Puis nos corps emmêlés et sans dessous-dessus,

    Pour gagner le final, luttaient, beaux et rebelles.

    Et de gestes obscènes en mots doux et crus,

    Ce fut la victoire, en cette nuit irréelle.

    Gérard Bollon-Maso

    Merci de me lire et d'apprécier ma poésie.


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