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Celle que je veux aimer
Ta jupe volète, indécente,
Sous un Eole bien coquin,
Libérant tes jambes émouvantes.
Ta chair est belle quand elle chante,
Caressée par un soleil mutin.
Et ton corsage transparent
Laisse deviner et qui saillent
Deux beaux seins fermes et blancs
Aux pointes dures de corail.
Une saute de brise forte,
Me laisse bientôt entrevoir
Des trésors en quelque sorte
Et sûrement très beau à voir.
Mon imagination s'éveille
Comme dans mes plus beaux rêves
Tu es avec moi au soleil
Charmante et nue sur une grève.
Un éclair flambe tes beaux yeux
Les faisant passer du vert à l'or.
Un éclair flambe tes cheveux,
Qui tombent en cascade d'or.
Le vent s'est apaisé, le soleil caché.
Tu m'apparais belle et naturelle.
Tu es celle que je veux aimer
D' un Amour tendre et éternel.
Gérard Bollon Maso
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