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    Tes yeux ont la couleur de la feuille d'automne,

     

    Et ont sous le soleil de doux reflets d'Amour;

     

    Il y a dans ceux-ci un rayon de velours

     

    Qui dans la grisaille ressortent et détonnent.

     

     

     

    Ta lèvre de carmin m'offre un baiser coquin

     

    Qui me désaltère du parfum de ton haleine,

     

    Et ton tendre visage a le port d'une Reine.

     

    J'aime ton sourire et la rondeur de ton sein.

     

     

     

    Alors enivre moi de ta douce clarté,

     

    De ta peau onctueuse, aussi de ta splendeur,

     

    De tes soupirs fiévreux, de tes trésors cachés,

     

    De ta voix charmeuse, de tes mots cajoleurs.

     

     

     

    Ta vie est dans mes yeux et fermant ma paupière,

     

    Lors je te vois si douce, élégante et si belle,

     

    Tu es venue à moi comme un cri de lumière

     

    Et qui résonne en moi comme un chant éternel.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Là-haut, au cœur du ciel, lorsque chantent les anges,
    S’entendent leurs soupirs tels rêves chuchotés,
    Des plaintes de lune en frissons tamisés,
    Au noir de la nuit et dans ses lueurs étranges.

    Couchés l’un contre l’autre, nos regards s’échangent,
    A l’écoute de ce ciel d’Amour et de Paix,
    Nous nous baignons de caresses et sous leurs attraits
    Nos corps d’un élan de tendresse se mélangent.

    Puis les anges s’endorment dans leur émotion,
    Et leur chant s’éteint au bout de la partition,
    Le ciel s’éternise au creux de son long silence,

    Jusqu’au matin au clair du jour, au bleu uni,
    Où les oiseaux s’éveillent, aux arbres qui dansent
    Sous les vagues du vent et du soleil qui luit.



    Gérard Bollon-Maso

     

     

     


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    Oh ! Pour toi comme j’aimerais
    Un grand soleil aux rayons d’or
    Qui dans tes beaux cheveux défaits
    Danserait de l’aube à l’aurore

    Oh ! Pour toi comme j’aimerais
    Que la lune toute ronde et pleine
    De ses beaux éclats argentés
    Illumine tes yeux de Reine

    Oh ! Pour toi comme j’aimerais
    Que le ciel constellé d’étoiles
    Scintille de tous ses reflets
    Eclaire ton beau visage pâle

    Oh ! Pour toi comme j’aimerais
    Que tout un grand jardin de fleurs
    Et comme un immense bouquet
    Parfume ton corps de mil senteurs

    Oh ! Pour toi comme j’aimerais
    Te donner mon plus grand Amour
    Te faire oublier tes regrets
    Te prendre la main pour toujours.



    Gérard Bollon-Maso

     

     


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    Les ombres de la nuit à l'éveil du matin,

     

    S'enfuyaient en silence à l'aube lumineuse.

     

    Parfumé par la brise au doux souffle câlin,

     

    La nature émergeait sous la rosée aqueuse.

     

     

     

    Phébé disparaissait pâlotte et vaporeuse,

     

    Dans un ciel éclaircit sous un soleil mutin.

     

    Un oiseau musardait dans la lumière huileuse.

     

    Un troupeau de bovins empruntait un chemin.

     

     

     

    Le fleuve étincelait, s'étirant au soleil,

     

    Eclaboussant la vue en ses couleurs vermeil.

     

    A l'horizon lointain, surgissaient la montagne.

     

     

     

    Puis un plateau immense étendait champs et prés

     

    en damiers colorés qui rendaient la campagne

     

    Si belle et attirante, en ce matin d'été.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon Maso

     


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    Tes yeux ont la couleur, les reflets de la mer,

     

    Des lointains horizons où le ciel pur s'évade

     

    Aux lueurs de l'aube quand le soleil parade

     

    Avant d'illuminer la terre de lumière.

     

     

     

    Ta bouche est tendre et fraîche au goût de bonbon clair,

     

    Aux lèvres de carmin, ton sourire une aubade,

     

    Tes cheveux tout dorés tombent en cascade,

     

    Encadrant ton visage aux traits fins, volontaire.

     

     

     

    Un visage charmant où rode le délice,

     

    Un visage rosé où règne la malice,

     

    A la peau si douce, la douceur du velours.

     

     

     

    J'aime le regarder, surtout le caresser

     

    Des lèvres, de ma main, et encor et toujours

     

    Lui donner chaque jour des milliers de baisers.

     

     

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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