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Tes yeux aux doux éclats, d'azur et de lumière,
Scintillants dans la nuit, de tendresse et d'Amour.
Tes cheveux dorés, forts, telle une crinière,
Ta peau de satin rosée, au goût de petit-four.
Le timbre de ta voix, douce et mélodieuse.
La pulpe de ta chair, tendre sous ma main.
Ton aspect nonchalant, ta poitrine pulpeuse.
Tes baisers enflammés, gourmand et puis câlin.
Ton corps ensorcelant, sa chaude frénésie,
Ses appas précités, provocant mon émoi,
Enivrant tous mes sens, exacerbant l'envie,
Et qui me font t'aimer, d'un grand Amour qui croit.
Puis j'aime aussi de toi, ta grâce et élégance.
Toutes les qualités, ta générosité.
Bien sûr quelques défauts, qui font ton charme immense.
Pour résumer je t'aime, et pour l'éternité.
Gérard Bollon-Maso
Je tiens à vous remercier, chers lecteurs, qui appréciez ma poésie, et qui m'encouragez à continuer.
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O ! Lune, tel un phare, au milieu des étoiles.
Que ta splendeur est douce, O ! très céleste nuit.
Et je t 'admire quand, ta beauté se dévoile,
Quand le ciel s'assombrit, et que le jour s'enfuit.
Quand le silence tombe, en fin de la soirée,
Tout est aérien, limpide, essentiel.
Sous de douces odeurs, la nuit est parfumée,
D'une saveur de fleurs, de blé mûr et de miel.
Du haut de la colline, on perçoit la vallée
Maintenant dans le noir, seuls des points lumineux,
Comme des lucioles, toutes éparpillées.
Ce sont les habitants, qui profitent, heureux,
De cette belle nuit, et qui nous est offerte,
Par Madame Nature, et par ce bel été.
C'est l'heur' d'aller au lit, la fenêtre entre ouverte,
Aussi rêver d'Amour, dormir comme un bébé.
Gérard Bollon-Maso
Je tiens à vous remercier, chers lecteurs, qui appréciez ma poésie, et me donnez l'envie de continuer.
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Un jour, la mort j’ai rencontrée
A l’aube d’un p’tit matin gris
Toujours poli, je l’ai saluée
Et « bonjour » elle me répondit
Bonjour ! le mot est déplacé
Car si vous êtes là aujourd’hui
C’est sûr, pour venir me chercher
C’est un mauvais jour, je vous dis
Pourtant je suis jeune, plein d’allant
Et aussi en bonne santé
Mais qu’ai-je commis de méchant
Pour ce départ précipité ?
D’ailleurs si vous le permettez
Vous avez le teint très palot
Les yeux creux et les traits tirés
Et surtout les os sur les os
De votre faux vous feriez mieuxD’aller faucher quelques épis
Pour vous remplumer quelque peu
Vous seriez beaucoup plus jolie
Peut être suivez vous un régime ?
Ou bien vous êtes anorexique
Mais votre cas est gravissime
Puis je vous trouve pathétique
Si vous continuez comme ça
Vous allez faire une dépression
Ou alors mourir avant moi
Ce serait un comble, voyons
Vexée, elle leva sa longue faux
Bien prête à m’enlever la vie
Mais je me réveille en sursaut
Tu es là, belle, le soleil luit.
Gérard Bollon-Maso
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Lorsque ta chevelure, en mouvement s'épanche,
De toute sa clarté, m'éclaire de ses ors,
Superbe de beauté, avec tes yeux pervenche,
Tu me prends dans tes bras, et tu m'offres ton corps.
Je pose avec Amour, tu tes lèvres aimées,
Un long baiser brûlant, enflammé de désirs.
Et puis mes douces mains, s'imposent exaltées,
Sur tes seins palpitants, se gonflant de plaisirs,
Sous mes tendres caresses, et ma bouche gourmande.
Alors ton corps cambré, charmant, voluptueux,
Emet de longs soupirs, mes mains tu redemandes,
Et dans un souffle court, et des cris langoureux,
Tu appelles mon corps, pour une étreinte ultime,
Une fusion charnelle, où en toi je me fonds.
Puis, ensemble soudés, jusqu'à l'instant sublime,
Où nos corps jouissants, retombent moribonds.
Gérard Bollon-Maso
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L'horizon resplendit de clarté aurorale.
Alors, le ciel sourit, car c'est un nouveau jour,
Et le silence plane, en cette heur' matinale.
Je me lève joyeux, plein d'entrain et d'Amour.
Puis le soleil s'élève et fait scintiller l'herbe
Des coteaux irisés, de rosée et de feux.
Et j'admire déjà, cette beauté superbe,
Offert par la nature, au soleil radieux.
Un vent doux et serein, entame sa journée.
Parfumant, généreux, le village dormant,
De ces senteurs fruitées, venant de la vallée
Proche, et tout en vergers, fleuris et odorants.
Murmurant, un ruisseau, berce ma rêverie.
Il passe juste derrière ma maison.
Je suis dans mon jardin, dominant la prairie,
je vois les paysages, jusqu'à l'horizon.
Gérard Bollon-Maso
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