-
N'ayant pour vêtements, rien que ta beauté pure,
Ornée en bijoux d'or et en subtils parfums,
Tu es là, près de moi, coiffant ta chevelure,
Qui t'effleure l'épaule, et caresse tes seins.
Tu es si belle nue et d'un charme impudique,
Aux perverses appas, appelant les plaisirs.
Voluptueuse et douce, à la croupe onirique,
Ardente dans l'Amour, attirants les désirs.
Et tes beaux yeux verts d'eau, sont comme des étoiles,
Il sont si lumineux, qu'ils brillent dans le noir.
Je suis tel un aimant, lorsque tu te dévoiles.
Je me vois dans tes yeux, comme dans un miroir.
Puis, j'adhère à ta chair, dans tes bras je me love.
Lors, tu m'offres ta bouche, et tes baisers brûlants.
Et j'aime tous tes gestes, surtout quand tu innoves,
Et me fait frissonner, sur ton corps languissant.
Le temps passe avec toi, doux comme une caresse.
Tu es l'Ange d'Amour, dont j'ai toujours rêvé,
Car ensemble on est bien, c'est Amour et tendresse.
Puis tu es ma merveille, et merci d'exister.
Gérard Bollon-Maso
votre commentaire -
Années soixante, les belles années
Les belles années de ma jeunesse
Années soixante quinze ans j’avais
Et je vivais dans l’allégresse
Une nouvelle musique arrivait
Le rock, le twist, mash potetoes
C’était divin on s’éclatait
Notre bonheur était en hausse
Tout restait à faire, à créer
Nouvelles mélodies, nouveaux mots
Pour draguer on allait danser
Mais on rentrait souvent penaud
Car les filles eh bien parlons en
Elles étaient de plus en plus belles
Quel baratin fallait quel plan
Pour leur rouler seulement une pelle
Et ça allait rarement plus loin
Elles avaient peur de leurs parents
On n’avait droit qu’avec les mains
Je ne regrette pas ce temps
Bien sûr maintenant tout a changé
Le cul, le sexe, y’en a partout
Dans les journaux, à la télé
Est-ce bien ou mal qu’en pensez vous ?
On peut tout faire on peut tout dire
On peut faire l’Amour n’importe où
Mais obligé de se munir
D’un petit bout de caoutchouc
Je me demande qu’a-t-on gagné
Par rapport à ces années là
Aimez vous cette société ,
Avec la drogue et le sida ?
Alors je pense à cette époque
On regrette toujours sa jeunesse
Oui mais vraiment ces années rock
De belles années, quelle richesse.
Gérard Bollon-Maso
votre commentaire -
C'est un printemps fleuri, qui habite ton corps,
Aux formes généreuses, à la peau douce et fine.
Et puis, tes beaux yeux bruns, et tout pailletés d'or,
Tu attires mon regard, sur ta beauté féline.
J'aime ton beau visage, aux traits pleins de clarté.
Tes cheveux lumineux, aux reflets de lumière,
Ruisselant sur ton sein, qui, au galbe nacré,
Regarde vers le ciel, ce dont tu es si fière.
Emannent de ton corps, de lubriques parfums,
Lascive et en désirs, pour l'Amour et sans gènes,
Bientôt tu prends ma main, lui montres les chemins
Des caresses aimées, de tes zones érogènes.
Tu connais les frissons, de mes baisers ardents,
Sur ta bouche d'Amour, aux lèvres de luxure,
Attirantes et roses, aux nectars odorants.
Joyau de ton bas-ventre, en écrin de fourrure.
Dans un élan soudain, tout le creux de tes reins,
Se soulève et dans un cri, retombe, tu te pâmes.
Ensemble et en sueur, nos gestes sont sereins,
Et si bons à subir, qu'on en vendrait nos âmes.
Gérard Bollon-Maso
votre commentaire -
On entend le printemps, ses couleurs et ses chants,
Sa chaleur revenue, et sa lumière douce.
On voit des papillons, dans les prés et les champs,
Tout fleuri de nouveau, et l'herbe verte pousse.
Puis, dans la campagne, on entend de doux bruits :
Le bourdonnement de l'abeille butineuse,
Un pépiement d'oiseaux, nés la dernière nuit,
Et leurs parents joyeux, chantant une berceuse.
Rivières et ruisseaux, s'ouvrent au ciel d'Azur,
Scintillant au soleil, et l'onde coule claire.
Puis au matin naissant, l'air est frais et très pur,
Le vent n'est pas levé, lorsque le jour s'éclaire.
Et le silence règne, attendant le réveil
Du charme naturel, de cette renaissance.
La vallée est heureuse, en ce moment d'éveil,
Et de revoir enfin, cette magnificence.
Gérard Bollon-Maso
votre commentaire -
Un voile parfumé, flotte sur ton corps nu,
Que bientôt j'aperçois, si beau en transparence,
Mouvant, aérien, rose, bien que charnu.
Ta grâce ténébreuse, est toute en élégance.
Ton voile tremble et luit, au lever du soleil.
Tu ressembles à un Ange, au front tout serti d'or,
Tes deux yeux émeraude et cernés de vermeil,
Sont des joyaux d'Amour, aussi beaux quand tu dors.
J'enlève ce tissu, et je vois apparaître,
Dans la douce lumière de ce matin naissant,
La beauté d'une femme, un chef d'oeuvre de maître.
Il n'y a pas plus beau, dans ce monde présent.
Cette femme, c'est toi, et c'est celle que j'aime,
Celle qui rend mes nuits, et mes jours merveilleux,
Qui habite mon cœur, et puis aussi qui m'aime,
Qui est dans mes pensées et qui me rend heureux.
Gérard Bollon-Maso
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires