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    Je ne songe qu'à toi ma belle chaque soir.

     

    Il est ainsi des soirs où rêvant à tes yeux,

     

    Tes seins magnifiques et ton ventre d'ivoire,

     

    Nous sommes en Amour, en montant dans les cieux.

     

     

     

    Je rêve que tes yeux sont de purs joyaux d'or,

     

    Et le reflet des cieux leurs donne une beauté

     

    Dont j'aime tant revoir, encor, encor, encor,

     

    Leurs regards lumineux et qui me font t'aimer.

     

     

     

    Je rêve de tes seins, tendre appas de chair,

     

    Aux doux parfums d'Amour, que j'aime caresser

     

    De ma main, de ma lèvre et qui me sont si chers.

     

    Parure de ta beauté, de ta féminité.

     

     

     

    Je rêve de ton ventre où ma main s'aventure,

     

    Conquérante et osée ; écrin de maternité

     

    Où la vie et l'Amour sont caresses nature

     

    J'aime y poser ma tête avec tendresse ouatée

     

     

     

    Je ne songe qu'à toi, ma douce Mélanie

     

    Et c'est pourquoi ce soir, en pensant à nous deux,

     

    J'aimerais bien t'offrir ce tout petit écrit

     

    Qui bien sûr j'espère rendra ton cœur heureux.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon Maso

     


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    Matin de pourpre et d'or, au soleil de l'Aurore.

     

    Eveil à l'horizon, des reflets diaprés,

     

    Collines et monts à ces rayons se dorent,

     

    Pour bientôt réchauffer, sous-bois, plaines et prés.

     

     

     

    Dans le cristal aérien, vibrent déjà et chante,

     

    Les gerbes de couleurs, dans un ciel enchanté

     

    De ses feux de lumière azurée, flambante.

     

    Féerie, harmonie, espace de beauté.

     

     

     

    Quelques oiseaux joyeux, flûtent dans la lumière,

     

    D'un ciel incandescent, légèrement voilé.

     

    La nature en repos, s'éveille la première,

     

    Ainsi que le silence, et son cri velouté.

     

     

     

    Les amandiers en fleurs, parfument l'atmosphère.

     

    L'angélus du matin, résonne grave et sourd,

     

    Comme un écho lointain, franchissant la rivière,

     

    Qui longe le vallon, en allant jusqu'au bourg.

     

     

     

    Un sentier poussiéreux, tout bordé de bruyère,

     

    Va, serpente et s'enfuit rejoindre la forêt.

     

    Au bout de la vallée, on perçoit derrière,

     

    Collines et hauts monts, offrant leurs attraits.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    La beauté de ses yeux

     

    Sa candeur, sa tendresse

     

    Ses gestes langoureux

     

    Ses mots doux, sa finesse.

     

     

     

    Ses baisers moelleux

     

    Son charme et sa noblesse

     

    Et son cœur généreux

     

    Son corps tout en souplesse.

     

     

     

    Elle est toute en désirs

     

    Ardente et en plaisirs

     

    Aime faire l'Amour.

     

     

     

    Prés d'elle, je suis bien

     

    Chaque nuit, chaque jour

     

    Et je l'Aime, O combien !

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     


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    Splendeurs lumineuses en ces journées d'Automne.

     

    Une brise câline anime les roseaux,

     

    Le ciel est apaisant, de lui-même il s'étonne

     

    Et les arbres chantent tout enivrés d'oiseaux.

     

     

     

    Au dessus des étangs des écharpes de brume

     

    Stagnent depuis l'aube pour soudain se lever

     

    Happées par un soleil pâle comme la lune,

     

    Et qui n'est pas pressé au ciel de s'élever.

     

     

     

    Les matins sont bien frais et l'air est parfumé,

     

    Les feuilles s'accrochent mais commencent à roussir.

     

    Dans la forêt proche, le temps s'est arrêté,

     

    Craignant d'aller trop vite et de se refroidir.

     

     

     

    Les jours sont encor doux, ainsi que les soirées

     

    En ce début d'Octobre et au sud de la Loire.

     

    On n'en profite bien, on va se promener

     

    En ville, au bord du Rhône et où l'on va s'asseoir.

     

     

     

    Nous sommes bien conscients que le froid va venir,

     

    Les feuilles vont tomber, les arbres seront nus,

     

    la neige et son manteau vont sûr tout recouvrir,

     

    Puis ce sera l'hiver, le gel, n'y pensons plus.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Hâte de me lover, dans tes bras langoureux,

     

    De regarder tes yeux, si beaux dans la lumière.

     

    Leur regard vert de mer, me rend très amoureux.

     

    Mes pensées sont pour toi, et de toute manière.

     

     

     

    Et j'espère déjà, de tes lèvres carmin,

     

    Les plus ardents baisers, et que je vois en songe.

     

    Et puis tes seins nacrés, que je sens sous ma main,

     

    D'une tendre caresse, et douce qui s'allonge.

     

     

     

    J'imagine ton corps, soulevé de désirs

     

    Sous ma bouche gourmande, à la douceur sereine.

     

    Tes soupirs haletants, sous le chant des plaisirs.

     

    Respirant la beauté, pour moi, t'es une Reine.

     

     

     

    Dans le rideau soyeux de tes cheveux dorés,

     

    Où je sens le parfum subtil de leur nature,

     

    Caressant mon visage ; Et tout ébouriffés

     

    Après la longue nuit, qui jusqu'au matin dure.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

    Mes recueils  :  contact :  06 64 17 65 80

     

     

     


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