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Ton corps n'est que parfums, O belle enchanteresse,
N'est qu'Amour et désirs, chef d'oeuvre de beauté,
Lorsque sur le sofa, pâmée en allégresse,
Le corps brûlant et rose, ardent et enfiévré.
Ondulant de plaisirs, sous ma bouche gourmande,
Dans l'élan de mon coeur, et le feu de ta peau,
Mélange ensorcelé, de la main qui demande,
Qui touche, caressante et appassionato.
Cette Amoureuse main, si douce et languissante,
Sur ton sein érectile, et pleins d'enchantement,
Passe, effleure, fébrile, obsédante et troublante,
Puis j'y pose, lampant, mes lèvres âprement.
Dans tes bras suppliants, et cherchant de tes lèvres,
Ton haleine en soupirs, et qui crachant des mots,
Entrecoupés d'éclats, aux doux relents de fièvres
Dans l'étreinte suprême, aux frissons crescendo.
Gérard Bollon-Maso
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Qu’est ce qui se passe ? je crois qu’on me fout dehors
Pourtant je suis bien là, au chaud, confortable
Baignant dans une douce euphorie, et on m’en sort ?
Je n’ai rien demandé, c’est insupportable
Je sens comme une poussée, est ce une expulsion ?
Et pourtant je n’en ai pas été avisé
Oh ! Mais ça pousse de plus en plus fort, attention
Voilà ! Je vois le bout du tunnel, ça y est
Je sors la tête, une lumière violente m’aveugle
Quelque chose me tire, mais qu’est ce qui foute
De l’air pénètre mes poumons, je beugle
On me saisi par les pieds, me secoue, je doute
Enfin on me pose sur quelque chose de doux
Et tous ces guignols autour, ils m’ont jamais vu ?
Ben voilà maintenant on m’emmène, mais où ?
On me lave, me pèse, me tripote le cul
C’est un beau gaillard de trois kilos cinq cent vingt
Tu parles, j’en ai vraiment rien à foutre
Ce que je veux c’est bouffer, j’ai une faim !
Alors je gueule, c’est l’heure du casse-croûte
Et puis j’ai très envie de revoir ma mère
Ah ! Qu’on est bien blotti contre son sein
Et téter le lait maternel, c’est super
Téter, c’est bon, je crois que je m’en souviendrai bien
Et quand je serai grand, je le ferai souvent
Pour l’instant ça à l’air pas mal du tout la vie
Nourri, lavé, choyé, pouponné tout le temps
Est ce que ça va durer ? Quel est votre avis ?
Gérard Bollon-Maso
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Dans mes rêves j'entends, de ton corps la musique,
C'est un doux chant d'Amour, appelant mon désir.
Je t'aperçois enfin dans la nue, érotique,
Quand tu descends vers moi, bras ouverts au plaisir.
Sous ton charme je suis, si belle comme un Ange,
Que j'ai le cœur qui bat, au rythme d'un tambour,
Je l'ai ouvert pour toi,, car aujourd'hui tout change,
L'ai refermé sur toi, et ceci pour toujours.
Un rêve merveilleux, un comte pour adulte.
Vais-je me réveiller, être seul comme avant.
Mais ce n'est pas possible, et ce matin j'exulte,
Je te vois, je t'entends, tu existes vraiment.
Je veux goûter bientôt, l'émoi de tes caresses.
Ta main aventureuse, et douce sur ma chair,
Ton sourire de nacre, et tes lèvres d'ivresses.
Mon bel ange d'Amour, tout mon corps t'est offert.
Gérard Bollon-Maso.
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Un nouveau jour point, né du baiser de l'Aurore.
Il naît à l'horizon, venant de l'infini.
Puis, le soleil paraît, de ses rayons, il dore
La nature en éveil, prés et coteaux fleuris.
Les arbres sont réjouis, et tendent haut leurs branches,
Afin de bien capter, de Poébus, les rayons.
L'hiver étant fini, lors, ils prennent leurs revanches.
Des oiseaux gazouilleurs, entament leurs chansons.
Le ciel maintenant bleu, chasse au loin les étoiles,
Et la Lune s'évade, au-delà vers la nuit
L'autre côté du monde, où elle se dévoile.
Bientôt la vie est là, le silence s'enfuit.
Puis déjà la rosée, en perles translucides,
Abreuve la nature, assoiffée au matin.
Au village endormi, les rues sont encor vides.
On perçoit de l'église, un doux chant en latin.
Gérard Bollon-Maso
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Ton corps incandescent, du feu de ton désir,
M'offre comme toujours, les frissons, les étreintes.
Tes mains aux doigts lascifs, me donnent du plaisir
Et laissent sur ma peau, de l'Amour, les empreintes.
Je cueille sur ta bouche, un sourire enjôleur,
Puis, tes baisers ardents, véritable délice,
Dont le goût restera, pour toujours dans mon cœur.
Je veux tant m'enivrer, au puits de ton calice.
L'odorante splendeur de tes seins me séduit,
Leurs pointes de corail, sont pleines de promesses.
Le parfum de ta chair, maintenant m'envahit,
Me laissant dans un rêve, aux langueurs des ivresses.
Belle fleur de lumière, aux charmes frémissants,
S'enlacent nos regards, ainsi que nos délires.
Nos nuits sont l'aventure, aux ébats envoûtants,
Jusqu'au petit matin, nos réveils en sourires.
Gérard Bollon-Maso
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