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    O nuits de voluptés, des ivresses lubriques.

     

    Sous tes voiles de femme, où ton corps languissant

     

    Etait fumant d'Amour, et d'appas érotiques.

     

    Nous nous sommes aimés, toute la nuit durant.

     

     

     

    Mes mains se sont perdues dans l'émoi de tes formes,

     

    De ta chair de lumière, aux reflets prometteurs.

     

    De tes seins turgescents, aux rondeurs uniformes.

     

    Au ciel de nos désirs, nos nuits sont en couleurs.

     

     

     

    Tes beaux yeux de vertige, étincelaient de braise.

     

    Tes baisers obsédants, meurtrissaient ma peau.

     

    Ton haleine en soupirs, avait le goût de fraise

     

    Et je montais au ciel, au sommet, tout en haut.

     

     

     

    Puis ta chambre était chaude, et de parfum chargée,

     

    Un doux parfum nocturne, aux effets enivrants,

     

    Et ouvrant pour la nuit, la barrière étoilée

     

    De l'intime splendeur, de ton joyau troublant.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Dans la splendeur de l'Aube et son ciel diapré,

     

    Dont tous les premiers feux, étalent leur merveille,

     

    Du matin, radieux de ce doux jour rêvé.

     

    Ö ! instant de silence, à l'heure où l'on s'éveille.

     

     

     

    Jour léger d'un délice, où Phébus va briller.

     

    Puis le vent vagabond, va caresser nos vies.

     

    Tous les parfums subtils, bientôt nous embaumer,

     

    En ce jour printanier, vont naître nos envies.

     

     

     

    La nature en éveil, se pare de couleur,

     

    Et un splendide Azur, maintenant se propage.

     

    Une lumière d'or, des rayons de chaleur,

     

    Recouvrent en douceur, déjà le paysage.

     

     

     

    Les amants vont renaître, et sortir de l'obscur,

     

    En dansant et chantant, les joyeuses nouvelles,

     

    Promettant de beaux jours, pour la saison, c'est sûr.

     

    Ce qui nous rend heureux, la joie en nos prunelles.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Au ciel divin du jour, une Aurore frissonne.

     

    La Terre se colore, aux pourpres du levant.

     

    Déjà vers l'horizon où l'infini s'étonne,

     

    La lumière jaillit, dans un flot innocent.

     

     

     

    Bleu et frais ce matin, il chante sa naissance,

     

    Un air pur adoucit les tous premiers rayons.

     

    Le vent souffle en suivant la vallée en errance,

     

    Et se heurte bientôt, aux parois des grands monts.

     

     

     

    Un oiseau gazouilleur, chante sur la clôture

     

    d'un jardin qui s'éveille, aux clartés du soleil.

     

    Lors, un désir de vivre, encense la nature.

     

    Tout s'agite et flamboie, aux reflets de vermeil.

     

     

     

    Eternel et royal, Phébus très haut s'élève,

     

    Dans un ciel estival et d'Azur enivré.

     

    C'est un beau jour d'été, tout en joie et en rêve,

     

    Et que l'on voudrait voir, ne jamais s'arrêter.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Tu irradies

     

    Comme mille soleils.

     

    Tes mots que j'aime,

     

    Sont beaux

     

    Comme le jour.

     

    Tes pensées fleuries,

     

    Au parfum d'Amour

     

    Guident ma vie.

     

    Viens !

     

    Donne moi la main

     

    Et promenons nous

     

    Dans le silence,

     

    Ecoutons la nature,

     

    Le temps qui passe,

     

    Et aimons nous

     

    Pour l'éternité.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Je vous prie Madame, un rendez vous m’accorder,
    Mon cœur est à vos genoux,
    Et permettez moi chère amie, de vous aimer,
    Oh oui ! De vous je suis fou.


    Votre ascendant sur mon cœur, me fait défaillir,
    Il sursaute à votre vue,
    Et votre beau regard aux reflets de saphir,
    Me fait fondre, j’en puis plus.


    Lorsqu’hier soir, votre main a frôlé ma joue,
    Mon corps n’était que frissons,
    Et que s’est dévoilée, la chair de votre cou,
    M’est venu l’esprit fripon.


    Et depuis Madame, ma vie n’est que pensées,
    Mille pensées que pour vous,
    Votre corps hante toutes mes nuits, esseulé,
    De vos draps je suis jaloux.


    Je vous prie Madame, un rendez vous m’accorder,
    Vous illuminez ma vie,
    Car j’ai besoin de vous et de votre beauté,
    aimez-moi, je vous en prie.



    Gérard Bollon-Maso



    Pour mes recueils  :   bollonmaso.gerard@bbox.fr

     

     

     

     

     


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