•  

    Des parfums de plaisirs, s'échappaient de ton corps,

     

    Ton cœur battait l'Amour, couchée et frémissante,

     

    Belle dans la moiteur des tes draps bouton-d'or,

     

    Tu m'offrais tes seins blancs, aux pointes provocantes.

     

     

     

    Une couleur de ciel dansait dans ton regard,

     

    Tu m'as tendu tes bras et tes mains conquérantes.

     

    Tout enivré d'Amour, le corps comme un lézard,

     

    Lové tout contre toi, dans la nuit languissante,

     

     

     

    Tu m'as donné ta bouche, aux lèvres de désirs

     

    Et des baisers ardents, d'émotions et de joie,

     

    Nous étions bien serrés et l'haleine en soupirs,

     

    Ma peau contre ta peau douce comme la soie.

     

     

     

    La sève de l'Amour, était là cette nuit,

     

    Ta beauté frissonnante, en est vraiment la cause,

     

    Merveilleuse et sublime, une étoile qui luit

     

    Dans mon ciel d'espérance, avec toi en symbiose.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

    Contact pour mes recueils  :   06 64 17 65 80   ou bollomaso.gerard@bbox.fr

     


    votre commentaire
  •  

    Le soleil au déclin, tout au bord de l'Abîme,

     

    Encor majestueux dans son rouge sanguin.

     

    Puis, tombe lentement ; et son brasier sublime

     

    Allume de ses feux, tout l'horizon lointain.

     

     

     

    Et la Lune, étalant sa dorure diaphane,

     

    Eclaire faiblement un chemin poussiéreux,

     

    Qui serpente joyeux, en beauté se pavane,

     

    Longe tout un sous-bois, s'en va mystérieux.

     

     

     

    Nous admirons la nuit, et sa nue étoilée,

     

    Visible seulement dans le ciel provençal.

     

    Puis les constellations : Orion, Cassiopée,

     

    A voir sont un plaisir, presque sentimental.

     

     

     

    La nature s'endort, sombre et silencieuse.

     

    Seul un petit ruisseau se balade en chantant.

     

    Bientôt chaque maison, lors, s'est mise en veilleuse

     

    Car dans l'âtre noirci, le feu meurt crépitant.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


    votre commentaire
  •  

    Mon regard absorbé par la douce splendeur

     

    De tes seins blancs offerts, me portait à l'ivresse

     

    De l'Amour et de toi, ton corps tout en liesse,

     

    Que tu m'as donné, tout enivré d'ardeur.

     

     

     

    Et il battait l'envie, O beauté frémissante.

     

    Puis j'ai couvert ta chair de baisers défendus.

     

    Tu as courbé les reins, ardente et soupirante,

     

    Provocant le délire au feu de nos corps nus.

     

     

     

    Mes mains se sont perdues, entre monts et vallées

     

    Puis suivies par ma bouche aux lèvres de désir,

     

    Suivant tous les chemins et les gorges sacrées,

     

    Pour arriver enfin au doux puits du plaisir.

     

     

     

    Nos bouches et nos corps et dans une envolée,

     

    Se sont bientôt soudés, et dans une douceur

     

    de tendresse et d'Amour, sublime chevauchée

     

    Dans un cri extatique, au sommet du bonheur.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


    votre commentaire
  •  

    Des larmes de rosée par la nuit déposées,

     

    Brillent tels diamants au matin radieux,

     

    De pourpre et d'écarlate en son royal levé,

     

    Notre astre solaire lance ses premiers feux.

     

     

     

    Puis le jour affirme de son ciel les éclats

     

    Sous la lumière bleue ; Les flamboyants rayons

     

    Tout éclaboussés d'or, rendaient tôt le climat

     

    D'une tiède douceur, caressant vaux et monts.

     

     

     

    Et, sur le lac dormant aux reflets irisés,

     

    Canards et cygnes blancs s'éveillent et s'ébrouent.

     

    Sur les rives fleuries et de saules bordées,

     

    Des pêcheurs matinaux, patients, boivent un coup.

     

     

     

    Les rues du village, jusqu'à présent désertes

     

    Se peuplent lentement sous les cieux si cléments ;

     

    Toutes les boutiques sont maintenant ouvertes

     

    Et le clocher sonne l'appel des pénitents.

     

     

     

    Au centre, sur la place, est présent le marché

     

    Qui tous les dimanches étale ses couleurs,

     

    Bouchers et fromagers, camelots, maraîchers

     

    Attirent le chaland de leurs tons racoleurs.

     

     

     

    Au café du marché, c'est l'heure de l'apéro,

     

    Les hommes discutent, c'est chacun sa tournée ;

     

    Au zénith, le soleil est maintenant très haut,

     

    C'est l'heure du repas, ils vont vite rentrer.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Eclairé d’une bougie
    Je t’écris
    Des mots aux belles couleurs
    De mon cœur

    Car souvent je pense à toi
    Chaque fois
    Que le vent chante l’Amour
    Pour toujours

    J’espère te voir sourire
    Même rire
    A mes côtés bien serrée
    Et aimée

    J’espère aussi voir tes yeux
    Amoureux
    Se plonger dans mon regard
    Même tard

    Viens vite car je t’attends
    Tout le temps
    Tu es l’Amour de mon cœur
    Mon bonheur.



    Gérard Bollon-Maso

     

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires