• Dans ton ciel bleu d'Amour, où les anges frissonnent

    Sous les tendres soupirs de ton corps en liesse,

    Les luisances de ta peau-sueur, s'abandonnent

    Au regard languissant de mon corps en caresse.

     

    Tes iris pailletées d'un grand désir ardent,

    Me fixent de leur éclat de saphir précieux.

    Tes lèvres gourmandes murmurent des serments

    Au creux de mon cœur, qui rougit de tous ses  feux.

     

    Puis tes bras comme des lianes tentaculaires,

    M'entourent de leurs doigts, m'égratignant le dos,

    Faisant surgir, des instincts imaginaires.

     

    Un élan de plaisir, sourdant de mon cerveau,

    M'envoie me fondre en l'ombre de tes mystères,

    Donnant l'envie de t'aimer, t'aimer crescendo.

     

    Gérard  Bollon-Maso

     

    Mes recueils   :   06 64 17 65 80


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  • Un souffle de lumière, enfièvre le ciel noir,

    Qui surpris, recule, s'enfuit et disparaît.

    Et la Lune visible, au bout de son attrait,

    S'estompe et puis pâlit, mais reviendra ce soir.

     

    Fuyant la grisaille, le brouillard et les ombres,

    En errance le jour éclot à l'horizon

    Et le ciel se teinte des tous premiers rayons,

    De rouge, de vermeil et chasse les coins sombres.

     

    Puis sous la nue ardente aux couleurs incendiaires,

    Les champs et les prés, étendent leur tapis,

    Vert céladon, doré, à l'infini fleuris

    Jusqu'au fond du vallon faisant une barrière.

     

    Et les arbres vêtus de leur large ramure

    D'où pépient des oiseaux sous leur dôme chenu,

    Balancent leurs branches, sous un vent soutenu.

    L'air frais et parfumé, embaume la nature.

     

    Traversant le vallon, une rivière passe

    Et nous berce joyeuse, en ses flots mélodiques,

    Son onde scintillante, aux lames métalliques,

    Nous renvoie des éclats d'or, d'argent et de strasse.

     

    A midi, au zénith, le ciel incandescent

    A des reflets d'airain aux lumières fanées.

    Nous sommes à l'abri à l'ombre des feuillées,

    Pensant déjà au soir, à l'heure du couchant.

     

    Gérard  Bollon-Maso

     

    Mes deux recueils  :   06 64 17 65 80


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  •  

    Dans un ciel vierge et pur, Auroral beauté,

     

    Immensité céleste, océan de lumière

     

    Au premiers rayons d'or de l'astre majesté,

     

    Se levant frémissant de son profond mystère.

     

     

     

    C'est un matin chantant, l'air est frais et serein.

     

    Une brise se lève et bientôt me caresse

     

    D'un parfum de blé mûr, et de laurier-thym.

     

    C'est un beau jour naissant, enchanté de promesse.

     

     

     

    A l'assaut du silence, on entend, bourdonner

     

    des abeilles au travail, le chant d'une mésange,

     

    Le son clair ruisselant d'un proche et vieux clocher,

     

    Un tracteur ronronnant en sortant de sa grange.

     

     

     

    L'eau d'un étang se moire et reflète les cieux,

     

    Une source jaillit au pied d'une colline,

     

    D'où un ruisseau d'argent s'évade glorieux.

     

    Au loin on aperçoit, toute la chaîne Alpine.

     

     

     

    Puis voici le zénith et ses rayons ardents,

     

    C'est l'été, la chaleur, en fin de matinée.

     

    Les hommes font la sieste, à l'abri, somnolents.

     

    En péril la nature, est déjà assoiffée.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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  •  

     

    C'est un mystère exquis, sous l'Aurore fleurie,

     

    Un ciel nouveau s'est levé, léger et éclatant,

     

    La musique du ciel, fût une mélodie,

     

    Les anges sont partis, ayant cessé leur chant.

     

     

     

    Tout est calme, splendeur et paisible harmonie.

     

    Le jour s'est adouci, sous le soleil naissant.

     

    Matin baigné d'Azur dans la lumière bleuie,

     

    Illuminant le bourg de son éclat brillant.

     

     

     

    Puis un ruisseau bavard, enjoué de musique,

     

    S'est mis à bien fêter, de son chant mélodique,

     

    La nouvelle saison, l'été tant attendu.

     

     

     

    Les vacances, la plage et les douces soirées,

     

    Terrasse des cafés, le quotidien rompu,

     

    Rencontres et amis, que de belles journées.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

    Mes recueils  :   06 64 17 65 82

     

     

     

     

     

     


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  •  

    Dans les brumes d'argent d'une Aurore estivale,

     

    Phébus est apparu, tout rouge de sommeil.

     

    Le ciel s'est éclairci d'une lumière opale,

     

    Des tous premiers rayons, d'un soleil en éveil.

     

     

     

    C'était un nouveau jour aux sublimes promesses.

     

    De clarté souveraine aux sereines langueurs,

     

    Ce jour qui commençait, était rempli d'ivresses,

     

    Comme sait bien le faire, une nature en fleurs.

     

     

     

    Eole en s'éveillant, caressait la forêt

     

    Et lui faisait chanter sa douce mélodie,

     

    Egayant le silence, et qui seul, s'ennuyait.

     

    Lors, toute la vallée était en harmonie.

     

     

     

    Au loin, à l'horizon, commençait l'infini.

     

    Devinant d'autres cieux, et bien d'autres Aurores.

     

    Puis l'on imaginait, d'autres pays aussi,

     

    Des pays inconnus, et y'en a pléthores.

     

     

     

    Mais bien sûr nous aimons notre ciel, son azur,

     

    Et nos coteaux fleuris, nos collines boisées,

     

    Nos forêts, nos ruisseaux, et notre air sec et pur,

     

    Au climat de douceur, et nos belles vallées.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

    Mes recueils  :  06 64 17 65 80

     


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