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    Un ciel bleu-nuit coulait à l'horizon limpide.

     

    La Lune apparaissait, montant de l'inconnu,

     

    Lente et luminescente, énorme, puis livide.

     

    Le soleil se rendait et s'effaçait vaincu.

     

     

     

    Les étoiles bientôt, diamantaient le soir.

     

    Un doux vent parfumé, caressait la plaine.

     

    Un beau ciel lumineux, déjà se laissait voir,

     

    D'ailleurs, je l'admirais avec sa Lune pleine.

     

     

     

    C'était un soir d'Amour et quand dans l'air léger,

     

    Les doux rêves berceurs et les douceurs exquises

     

    Exhalaient leurs chants d'or, m'envoyant te chercher

     

    Au-delà de l'attente et des tendres surprises.

     

     

     

    Un silence pensif, tombait bientôt du ciel

     

    Comme mélancolie où ressort un visage.

     

    Au soleil de minuit, un trouble instant partiel

     

    Faisait penser à toi, Belle sur un nuage.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

    Contact pour mon recueil  :  06 64 17 65 80

     


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         Naissante,

     

         Souriante,

     

    L'Aurore du matin.

     

         Si bleu,

     

         Si pieu,

     

    Le ciel est serein.

     

     

     

         Le soleil,

     

         S'éveille,

     

    Se lire dans l'eau,

     

         De l'étang

     

         Charmant

     

    Bordé de roseaux,

     

     

     

         La vallée,

     

         Embrumée,

     

    Maintenant s'éclaircit.

     

         La nature

     

         Sous l'azur

     

    Maintenant s'embellit.

     

     

     

         Le jour,

     

         L'Amour,

     

    Eclosent et flamboient.

     

         Leur lumière

     

         Eclaire

     

    La vie, c'est la joie.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     


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    Une Aurore aux couleurs de pourpre et de lumière

     

    Naissait, chassant la nuit de ses traits de clarté.

     

    On percevait déjà, tout au bout de la Terre

     

    Dans un flou pictural, l'horizon en beauté.

     

     

     

    La cascade grognait en ses eaux palpitantes.

     

    De la Terre et des bois, montaient d'étranges bruits

     

    Et la brise soufflait en vagues haletantes,

     

    De doux parfums sucrés aux effluves fleuris.

     

     

     

    Dans les prés tout en fleurs, butinaient des abeilles,

     

    Pour faire le bon miel et que nous aimons tant.

     

    Le doux chant de leurs ailes, enchantait nos oreilles,

     

    Admirant leur travail, allongés mollement.

     

     

     

    Dans ces beaux jours si fiers de leur splendeur d'été,

     

    Nous aimions la balade, au matin, à la fraîche.

     

    La nature est si belle au soleil tout doré,

     

    Sans oublier bien sûr : le vélo et la pêche.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

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    Dans la splendeur de l'Aube claire,

     

    Une chanson remplit l'Azur.

     

    C'est le doux chant de la lumière,

     

    Eclairant un ciel tiède et pur.

     

     

     

    C'est un si beau matin d'été

     

    Où déjà le soleil s'élance

     

    Vers le zénith bien mérité,

     

    En cette saison qui s'avance.

     

     

     

    Le paysage encor tout vert,

     

    Se réjouit et s'illumine,

     

    Et le vallon est tout ouvert,

     

    A la clarté tendre et divine.

     

     

     

    Un parfum porté par le vent

     

    En nous égrenant ses fragrances,

     

    Embaume l'air qui odorant

     

    Lors, nous fait penser aux vacances.

     

     

     

    Puis les bois gazouillent, charmants

     

    Et dansent sous la mélodie.

     

    Dans les prés et dans les champs,

     

    Ca grouille tout en anarchie.

     

     

     

    L'on sent une ambiance d'Amour,

     

    Tout le monde chante et danse,

     

    Et L'on aimerait  pour toujours,

     

    Un beau soleil, en abondance.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

    Contact pour mon recueil  :  06 64 17 65 80

                                        


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    Dans l'arpège du vent, on saisi dans le noir,

     

    Le murmure de l'eau des fontaines de pierre,

     

    Le chant mélodieux des oiseaux dans le soir,

     

    Le cri du temps qui passe en cherchant la lumière.

     

     

     

    Puis un petit ruisseau serpentant, gambade,

     

    Se perdant dans la nuit et au petit matin,

     

    Trouve enfin le chemin. Une dernière aubade

     

    Et se noie en l'étang, où c'était son destin.

     

     

     

    Le ciel de cette nuit, tout velouté de Lune,

     

    S'endort dans son silence, en son chant languissant

     

    Et couvre le vallon de son sommeil nocturne,

     

    Jusqu'à la Belle Aurore et le ciel du levant.

     

     

     

     

     

    Gérard Bollon-Maso

     

    Contact pour mon recueil  :  06 64 17 65 80

     

     

     


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